Semana Santa

A Séville, Maria Delgado, inspecteur de police fraîchement promue, prend ses fonctions dans un milieu peu enclin à accueillir une femme, si jolie soit-elle. C'est la Semaine Sainte et elle se retrouve confrontée à d'étranges meurtres. Des crimes marqués au sang d'un pénitent, un homme cagoulé arborant le rouge de l'ordre religieux de la Fraternité du Christ. Epaulée par Torillo et Quemada, un jeune flic borné et quelque peu misogyne, Maria est chargée de l'enquête. Cependant, les recherches piétinent et le tueur sévit selon un même rituel qui rappelle celui de la tauromachie. Au sein de l'équipe, des liens se tissent. Entre Maria et Quemada, peu à peu, les barrières tombent. Mais le tueur prend bientôt la belle pour cible.

Dans le metro ou l'autobus, au cafe ou un quelconque lieu public, quelqu'un se fait verbalement agresser ou tabasser et les autres regardent sans intervenir.

On pense connaître tous les visages de Joschka Fischer : le provincial transformé en ministre, le militant anarchiste en jeans et baskets devenu l’un des hommes politiques les plus populaires d’Allemagne. Ou encore le combattant de rue reconverti en chauffeur de taxi lorsque la protestation bascule dans le terrorisme, mais qui rebondira en rejoignant les Verts pour devenir un "écolo réaliste". Alors qu’il s’est retiré de la vie politique, celui qui fut aussi le tout premier vice chancelier vert participe ouvertement à ce documentaire qui lui est consacré. Confronté aux images de sa vie, il explique comment Joschka est devenu Monsieur Fischer. Au delà des clichés, son parcours est un fil rouge à travers l’Histoire de son pays depuis 1945. C’est aussi un chapitre "rouge vert", écrit par sa génération et désormais clos. Selon lui, c’est à la relève de passer à l’action.

Gangster sorti de prison, Oskar entend se consacrer à sa première passion : la cuisine. Il souhaite ouvrir un restaurant avec sa petite amie, Marie. Il a par ailleurs écrit un livre, "Secrets", sur le point d'être publié... Pour Konstantin, chef de la mafia, les projets d'Oskat sont durs à digérer...