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◆ Bien 3.17 sur 5 3
Un film-portrait expérimental. "Somewhere in between" transpose en fiction la recherche de la chorégraphe Meg Stuart. Pour le film, Meg Stuart recrée les comportements et gestes d'individus dans la vie de tous les jours : les attitudes étranges ou inhabituelles d'un couple de marginaux, de deux filles dans leur appartement, d'un couple dans une maison à moitié détruite, d'une fille dans un parking souter-rain, d'une autre fille qui veut s'installer en Suisse et vit des expériences plus ou moins traumatisantes... Ces personnages sont aussi le matériau d'une recherche à la fois chorégra-phique et cinématographique.
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◆ Navet 1.50 sur 5 2
Le film compose l'esthetique de vie d'une femme dans son epoque, avec une histoire personnelle fortement marquee par la Yougoslavie de Tito, la violence ordinaire, l'experience des limites physiques et psychiques. Un parcours singulier de femme. L'evocation volontaire du passe fait surgir quelque chose de plus secret, de plus intime: un devenir inconnu qui s'incarne dans des fictions ressenties comme d'authentiques fragments de verite.
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◆ Navet 1.00 sur 5 1
Trois films courts de Pierre Coulibeuf : Magnetic Cinema , Pavillon noir et Le Démon du passage .
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◆ sur 5
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◆ sur 5
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◆ Sympa 2.50 sur 5
Lost Paradise suggère cette distance entre l'homme et le monde, cet état de mélancolie vague provoqué par un désir d'infini, d'abolition des limites - désir voué à n'être jamais assouvi. Trois lieux. Trois situations avec personnages.
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◆ sur 5
Reconstitution- fictive - de la chaîne d'images mentales qui fait surgir les visions du photographe Jean-Luc Moulène.
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◆ sur 5
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