Interlude

Paris, dans les années 1900 : Jules, allemand et Jim, français, deux amis artistes, sont épris de la même femme, Catherine. C'est Jules qui épouse Catherine. La guerre les sépare. Ils se retrouvent en 1918. Catherine n'aime plus Jules et tombe amoureuse de Jim.

Libéré des camps sibériens dans lesquels il a passé vingt ans, un prêtre russe, manipulé par le Parti, gravit les échelons de la hierarchie catholique jusqu'à la papauté...

Un homme, veuf depuis peu, rejoint une troupe de théâtre amateur dans une petite ville d'Angleterre. Le drame joué sur scène n'est rien comparé à ce qui se passe derrière la scène.

Federico Fellini nous offre un portrait à contre-courant de ce séducteur mythique. Un regard froid sur la solitude d'un homme poursuivi par sa renommée.

Alex (William H. Macy) mène depuis toujours une double vie. Pour sa femme Martha (Tracey Ullman), son petit garçon Sammy (David Dorfman) et son entourage, il dirige une petite société de vente par correspondance. Mais en réalité, il tire ses revenus du métier que lui a enseigné son père (Donald Sutherland) : tueur à gages. En pleine crise de la cinquantaine, Alex veut tout plaquer, changer de vie et se défaire de l'emprise de son père. Cependant, ce dernier n'accepte pas sa démission. Aussi tente-t-il de trouver de l'aide auprès d'un psychanalyste, Josh (John Ritter). Un acte que son père désapprouve et craint. C'est dans la salle d'attente du thérapeute qu'il fait la rencontre de Sarah (Neve Campbell), une jeune femme tourmentée de 23 ans, dont il tombe amoureux. Alex ne sait plus où il en est. Il est déchiré entre Sarah et son épouse, entre son père et lui-même, entre ses anciennes habitudes et sa nouvelle thérapie... jusqu'au jour où son père décide d'initier son petit garçon. Présenté en Compétition au Festival de Deauville 2000, ce premier long métrage de Henry Bromell oscille entre drame psychologique et comédie noire. William H. Macy, habitué généralement aux seconds rôles, est ici pour la première fois l'acteur principal.

Dans l'URSS du milieu des années 50, le rock'n'roll est banni. Alexi, adolescent fan de musique, parvient, grâce à son oncle, à se procurer des singles des vedettes du moment, qui ont pour nom Elvis Presey ou Jerry Lee Lewis. Son ami Sasha, avec qui il monte un groupe de rock, décide de vendre des exemplaires de ces disques au marché noir. Mais Alexi tombe amoureux de Valentina, la fille d'un dirigeant russe.

Jacqueline Susann, provocatrice et femme de poigne, ne souhaite qu'une chose : devenir célèbre. Peu importe le moyen pour y parvenir : télévision, comédie, publicité, pourvu qu'elle soit admirée. Mais ses quelques ratés dans le monde du show-business ne présagent rien de bon. Toutefois, elle s'improvise écrivain et provoque la controverse en publiant un roman intitulé Valley of the Dolls , où des femmes libérées s'adonnent au plaisir de la chair, un récit révolutionnaire pour l'époque. Ce premier livre est suivi de Once is not enough . Jacqueline rencontre Irving, qui devient son mari et son agent. Tous les deux mènent une vie mouvementée, voire même scandaleuse. Mansfield crée de toutes pièces un personnage pour Susann dans un but purement commercial. Parallèlement, celle-ci doit faire preuve de courage pour lutter contre le cancer et assumer l'autisme de son fils.

Nick Chapman est un jeune diplomé de l'université, et son court métrage gagne un prix spécial. Il rêve maintenant d'aller à Hollywood réaliser le film qui lui tient tant à coeur. Il réalise qu'il doit alors faire concession sur concession...

Au sommet du succès, un agent hollywoodien découvre que sa femme le trompe et que son journal intime a été dérobé par un journaliste...