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1804. Deux actrices vieillissantes de la Comédie Française, Mademoiselle de Saint-Robert et Mademoiselle Lecomte, cherchent à accroître leur pouvoir, afin d'obtenir les faveurs de l'Empereur, alors à son zénith. La lutte est sans merci, tous les coups sont permis : elles sont encouragées en cela par leur clan respectif et un public assidu que leur guerre incessante divertit. Elles vont ainsi favoriser, sans le vouloir, l'ascension d'une jeune figurante ambitieuse, qui finira par prendre leur place sur scène et dans le cœur de leur vieil amant et ami Claude, un comédien de la troupe. L'union faisant la force, elles se réconcilieront pour mieux se venger de la donzelle.
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◆ Top 4.30 sur 5
Monsieur de Fontenelle a résisté toute sa vie à la passion et aux sentiments amoureux, mais à un âge avancé il fait la rencontre d'une jeune femme qui lui fait découvrir ce sentiment qu'il a toujours souhaité ignorer : l'amour.
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◆ Sympa 2.65 sur 5 275
Les mousquetaires font la collecte de l'impôt et abusent de leurs pouvoirs en pillant tout. Le roi Gros Pif passe son temps à table en compagnie de la reine et de ses ministres. Mais une conspiration, menée par la reine, le bouffon et le cardinal, met fin au règne du tyran...
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◆ Bien 3.36 sur 5
Évocation de l'affaire qui secoua la IIIe République : accusé à tort d'espionnage, le capitaine Alfred Dreyfus fut dégradé et condamné à la déportation à vie. Après la mobilisation d'intellectuels, comme Emile Zola, qui dénoncèrent l'antisémitisme dont fut victime Dreyfus, celui-ci fut finalement réhabilité. Téléfilm en deux parties.
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◆ Top 3.79 sur 5 54
Entre les mois de février et juillet 1858, dans la Grotte de Massabielle, la Vierge est apparue dix-huit fois à Bernadette Soubirous, petite fille misérable de Lourdes. Une véritable "révolution" mariale qui, au cœur du Second Empire, bousculera l’ordre établi par son message universel d’amour et de prière.
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◆ Navet 1.67 sur 5
Évocation historique des aventures amoureuses d'un grand séducteur, Brantome, qui décida à l'âge de quarante ans de se faire écrivain pour garder en mémoire toutes ses amours. Comme il le souhaitait, sa gloire fut posthume, cinquante ans après sa mort avec la publication des "Vies des dames galantes".