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◆ Navet 1.88 sur 5 4
Le jeune peintre Francisco Herrero réalise un portrait, celui de la famille du producteur et réalisateur Lluís Miñarro. La pose prend des airs de conversation intime. Elle se transforme en la mise à nu d’une famille typiquement espagnole, retraçant son histoire, du franquisme à nos jours.
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◆ Bien 3.38 sur 5 8
Un verrou qui cède, une porte qui s’ouvre, des cris de joie qui retentissent : un logement condamné est redevenu libre. Simple comme bonjour, la réappropriation qui ouvre le film de Christophe Coello est d’abord un moment d’intense vitalité. Jubilation de déjouer les plans de la société immobilière qui a entrepris de vider l’immeuble de ses habitants, jubilation de redonner vie à un bout de ville morte, jubilation de conquérir un toit au nez et à la barbe des promoteurs et au soulagement des derniers voisins.
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◆ Top 4.10 sur 5 10
Rodolfo Costa était différent. Il ne voulait pas être forgeron comme tous les membres de sa famille. Il voulait être danseur. Dans le Paraguay des années 80, sous la dictature de Stroessner, son nom fut mis sur la liste de « 108 homosexuels », arrêtés et torturés.
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◆ sur 5