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◆ Top 4.00 sur 5
Le 13 septembre 1848, une barre de métal traversa le crâne du contremaître Phineas Gage. Celui-ci survécut miraculeusement mais changea de personnalité après l'accident. Un siècle et demi plus tard, aux Etats-Unis, Hanna Damasio et son équipe reconstituent par ordinateur la trajectoire de la barre de métal et réussissent à apporter des explications scientifiques à ce mystère.
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◆ Génial 4.50 sur 5
Alors que les troupes soviétiques sont entrées en Afghanistan en décembre 1979, Christophe de Ponfilly et Jerome Bony réalisent leur premier reportage clandestin dans la vallée du Panjshir. Une vallée contre un empire témoigne du début de la lutte d'un jeune commandant, Amah Shah Massoud. En 1981, qui aurait pu prévoir que les paysans afghans tiendraient tête à l'armée soviétique? Massoud, jeune chef de la guerilla installée au Nord-Est de Kaboul, dans la vallée du Panjshir, était sûr de la victoire. On le verra organiser son dispositif pour durer. Ce résistant infatigable croyait en la justice de sa cause. Tourné clandestinement en super 8, ce document a été le premier à témoigner des débuts du combat de Massoud.
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◆ Génial 5.00 sur 5
En 1984, alors que des rumeurs disent Massoud mort et la vallée du Panshir détruite par les Soviétiques, Christophe de Ponfilly , accompagné de Bertrand Gallet , effectue un nouveau grand reportage dans le Panshir. Juillet 1984 : tout a été détruit, mais grâce à son réseau de renseignements, Massoud a pu faire évacuer les habitants in extremis. Pour lui et ses hommes, la lutte n'est pas terminée. Cachés dans les grottes des montagnes, ils continuent à tenir tête à l'armée soviétique, malgré l'absence d'aide de l'occident. Le quotidien de ces combattants est filmé.
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Chaque nuit, les équipes du Samu Social sillonnent Paris pour repérer les personnes désocialisées et recréer un lien social. Le film nous fait suivre ces équipes qui, nuit après nuit, tentent d'apporter un peu de chaleur et de réconfort à ceux qui souffrent. On peut parfois penser que la nuit, Paris brille de toutes ses splendeurs... Cela dépend de quel côté de la rue on se trouve. C'est pourquoi des gens travaillent à ce que Paris ait la même luminosité pour tout le monde.
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