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◆ Navet 1.94 sur 5 16
David propose à son frère jumeau, Marc, de partir en van, un peu au hasard, sur les traces d'un journaliste catalan disparu. C'est l'été, un été torride et caniculaire. Traversant des paysages contrastés, ponctués de champs désolés, de forêts calcinées, de sous-bois luxuriants, de rivières aux rivages hostiles, de fleuves aux eaux clémentes, ils poussent toujours plus loin vers le Sud, dans une région inconnue. Au cours de ce voyage initiatique, hanté par les fantômes de l'Espagne, ils expérimentent tous deux des sentiments forts et inédits.
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◆ Bof 2.43 sur 5 14
Au milieu de l'océan Atlantique, Farrel demande au capitaine du cargo sur lequel il travaille l'autorisation de descendre à terre : il veut se rendre là où il est né pour savoir si sa mère respire encore. Farrel a travaillé comme marin les vingt dernières années de sa vie. Il s'est soûlé à en rouler par terre et a toujours payé les femmes qu'il a eues. Il ne s'est fait aucun ami. Une fois parvenu au hameau enneigé où il a vécu ses premières années, il découvre que sa mère vit toujours mais également que la famille compte une personne de plus.
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◆ Bien 3.38 sur 5 8
Un verrou qui cède, une porte qui s’ouvre, des cris de joie qui retentissent : un logement condamné est redevenu libre. Simple comme bonjour, la réappropriation qui ouvre le film de Christophe Coello est d’abord un moment d’intense vitalité. Jubilation de déjouer les plans de la société immobilière qui a entrepris de vider l’immeuble de ses habitants, jubilation de redonner vie à un bout de ville morte, jubilation de conquérir un toit au nez et à la barbe des promoteurs et au soulagement des derniers voisins.
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◆ Navet 1.88 sur 5 4
Le jeune peintre Francisco Herrero réalise un portrait, celui de la famille du producteur et réalisateur Lluís Miñarro. La pose prend des airs de conversation intime. Elle se transforme en la mise à nu d’une famille typiquement espagnole, retraçant son histoire, du franquisme à nos jours.
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◆ sur 5