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◆ Génial 5.00 sur 5
Romain s'est toujours senti ridicule. Et pour cause, il est né avec des bois de cerf sur la tête. Mais un jour, une rencontre va changer sa vie et le regard des autres...
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◆ Top 4.00 sur 5
Un matin parmi tant d’autres... Un Homme se rend chez son médecin pour attendre des résultats médicaux. Ce rendez-vous en apparence banal va être le théâtre d’une plongée dans le mystère et l’absurde. Les protagonistes en ressortiront transformés...
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◆ sur 5
Au chômage depuis quelques mois, Brewster tente de faire bonne figure. Il faut s'y résoudre, c'est pourtant sa femme, Janet, qui entretient la famille. Pour redevenir l'homme qui assure le confort au foyer et inspire le respect dans le voisinage, il embarque son meilleur ami dans un retour aux vrais valeurs : ensemble, ils vont rétablir l'ordre des choses en ramenant la nourriture au foyer. Car les vrais hommes, eux, partent à la chasse pour le dîner. Nous sommes au 21ème siècle, à San Francisco...
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◆ Top 4.00 sur 5
Marguerite Duras dit "Ecrire, c'est tenter de savoir ce qu'on écrirait si on écrivait" . Ce film tente de montrer quelque chose qui se rapproche de l'écriture, et sans rien prévoir vraiment. Dans le texte de ce film, il est dit "J'ai été toute petite et puis j'ai grandi" . C'était comme l'image d'un état, celui de Marguerite Duras : voilà, je suis comme ça. Et c'est comme ça que Sylvie Testud est filmée. Là. Comme ça. Rien d'autre.
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◆ Navet 0.50 sur 5
"La Poderosa", c'est une femme fatale. Une femme convoitée qui devient une muse inaccessible, fièrement retranchée derrière un amour hautain et nonchalant. Une femme avec un homme qui court après, derrière, avec humour et maladresse, sur la plage puis sur la route, dans les dunes puis dans les rues. Le jour, la nuit. Comme si jamais il ne pouvait la rattraper, la toucher.
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◆ Génial 5.00 sur 5
A la fin des années 60, une jeune étudiante retrouve l'appartement d'un ami. Il est vide, elle est seule au milieu de sa vie. Ici se prépare un changement d'époque, la libération d'une jeunesse. Moleskine est un instantané des années 60. L'héroïne laisse apparaître la douce nostalgie d'une époque où la révolution (politique, sociale, culturelle, sexuelle...) se rêvait au quotidien. Elle tourne dans la pièce, s'imagine que la révolution pourrait être tendre. C'est la tendresse du noir et blanc, comme dans le rétroviseur d'une jeunesse oubliée.