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◆ Navet 0.50 sur 5
"La Poderosa", c'est une femme fatale. Une femme convoitée qui devient une muse inaccessible, fièrement retranchée derrière un amour hautain et nonchalant. Une femme avec un homme qui court après, derrière, avec humour et maladresse, sur la plage puis sur la route, dans les dunes puis dans les rues. Le jour, la nuit. Comme si jamais il ne pouvait la rattraper, la toucher.
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◆ Génial 5.00 sur 5
A la fin des années 60, une jeune étudiante retrouve l'appartement d'un ami. Il est vide, elle est seule au milieu de sa vie. Ici se prépare un changement d'époque, la libération d'une jeunesse. Moleskine est un instantané des années 60. L'héroïne laisse apparaître la douce nostalgie d'une époque où la révolution (politique, sociale, culturelle, sexuelle...) se rêvait au quotidien. Elle tourne dans la pièce, s'imagine que la révolution pourrait être tendre. C'est la tendresse du noir et blanc, comme dans le rétroviseur d'une jeunesse oubliée.
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◆ Bof 2.00 sur 5
Fasciné par les espaces urbains vacants, les usines abandonnées, les casernes et hôpitaux désaffectés, ce photographe pose un regard clinique sur ces friches urbaines. Pourquoi ce choix et quel point de vue pour cette nouvelle exploration de la ville ?