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◆ Sympa 2.75 sur 5
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◆ sur 5
Tableau vivant dans lequel deux hommes et deux femmes (dont l'une est Mario Montez travesti) restent obstinement posees sur un canape. La sexualite orale attribuee a la petite enfance s'etale largement dans ce film, ou la consommation "infiniment" repetee d'une banane a un rythme d'une lenteur infernale et d'une volupte gourmande, sert de substitut a une autre pratique sexuelle.
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◆ sur 5
Gerard malanga a decouvert une jeune premiere, Susan Bottomly, et de maniere hollywoodienne, lui a donne le nom d'International Velver (en hommage a Elizabeth Taylor a qui Susan ressemble beaucoup). Il a construit tout son film autour d'elle, en filmant spontanement sous les projecteurs.
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◆ sur 5
Les acteurs chantent, dansent, blaguent ou font les pitres. Jack Smith accomplit des prouesses pour ouvrir une porte de placard. Le plateau est amenage comme un theatre familial: quand l'un fait son spectacle, les autres applaudissent.
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◆ sur 5
Ce film n'a ni dialogie, ni narration. Il evoque au contraire l'atmosphere de nostalgie et d'enchevetrement emotionnels uniquement par l'image (en particulier via l'utilisation de gros plans), l'utilisation poetique de la couluer et une bande son quasi parfaite.
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◆ sur 5
Gerard Malanga lit de la poesie pendant qu'une fille hors-champs, lui fait des critiques et essaie de la distraire.
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◆ Génial 4.50 sur 5
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◆ sur 5
Veritable pied de nez aux conventions cinematographiques, ce film imite les Sreen Tests tournes par Warhol et malanga a la Factory, a la difference que le sujet est ici Andy Warhol.
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◆ Sympa 2.50 sur 5
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◆ Sympa 2.75 sur 5