-
◆ Sympa 2.50 sur 5
- Similaires Mieux notés Populaires Derniers Bande-Annonce
-
◆ sur 5
Ce spectacle du Velvet Underground avec la blonde Nico en chanteuse au tambourin fut enregistré lors d'une répétition à la Factory, en janvier 1966. La caméra bouge de manière chaotique autour des membres du groupe transformant la session en symphonie psychédélique. Le film était prévu pour être projeté en arrière-fond des concerts du Velvet.
-
◆ Bien 3.29 sur 5
Joe, un hippie, et Holly, un travesti, traînent et partagent un appartement miteux à New York. Joe, impuissant à satisfaire ses partenaires féminines, se réfugie dans des paradis artificiels et sombre inexorablement dans la déchéance.
-
◆ sur 5
Tableau vivant dans lequel deux hommes et deux femmes (dont l'une est Mario Montez travesti) restent obstinement posees sur un canape. La sexualite orale attribuee a la petite enfance s'etale largement dans ce film, ou la consommation "infiniment" repetee d'une banane a un rythme d'une lenteur infernale et d'une volupte gourmande, sert de substitut a une autre pratique sexuelle.
-
◆ Top 3.50 sur 5
A New-York, Joe, un marginal, se prostitue pour subvenir aux besoins de sa famille, tandis que Geraldine, sa compagne, mène une vie parallèle avec une autre femme se prénommant Patti.
-
◆ sur 5
Les péripéties de deux jeunes américaines hippies, venu a Paris trouver du sexe, de la romance...et de riches maris !
-
◆ sur 5
A New York, une journaliste française entretient une liaison tumulteuse avec une rock star.
-
◆ sur 5
Lise, une femme mentalement déséquilibrée, flirte avec le danger et vit une série d'étranges rencontres à Rome, qui semblent la mêler à une affaire de meurtre...
-
◆ sur 5
La vie de quatre jeunes prostituées à New York.
-
◆ Sympa 2.50 sur 5
Rita regne sans partage sur une bande de jeunes dealers d'Alphabet City. Elle a le meme comportement avec son fils Tiago, un jeune homme un peu naif. Rita va devoir faire face aux violentes attaques de bandes rivales pour conserver son pouvoir.
-
◆ Bien 3.25 sur 5
Ciao ! Manhattan met en parallèle les jours de gloire de Susan, son inévitable chute et la dépendance dévastatrice qui prit sa vie une semaine seulement après la fin du tournage.