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◆ sur 5
Dans la lignée du dérangeant documentaire Fous à délier signé Silvano Agosti, Marco Bellocchio, Stefano Rulli et Sandro Petraglia, Un silence particulier arrive trente ans après, avec une dimension moins politique et plus intime, même si le film s'appuie sur une vision alternative de la société et des rapports entre les gens. Stefano Rulli a rencontré pour de bon la maladie dans un face à face quotidien et bien plus exigeant que tout présupposé idéologique. De fait, Stefano a un fils, Matteo, aujourd' hui âgé de 25 ans, qui souffre d'autisme. C'est maintenant que Stefano a trouvé le courage, avec l'aide de son épouse, l'écrivain Clara Sereni, de braquer une caméra vidéo sur les tempêtes que cette famille a traversées, sur les moments d'espoir et de découragement.
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◆ Génial 4.50 sur 5 1
Trois patients internés dans un hôpital psychiatrique vont être réintégrés dans la société. Ils confient leur perspectives d'avenir.
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◆ sur 5
Documentaire qui fait le tour du cinema en Italie, du cinema industriel au cinema amateur, en passant par les exploitants de salles et le public.
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◆ Navet 0.75 sur 5
En mars 2002, le vieil immeuble où toute la famille Gardini a toujours vécu et tient une pharmacie doit être démoli. Nous assistons au dernier jour d'activité, avec l'au revoir ému des habitués, la famille qui vide le magasin et la destruction de l'édifice, qui laisse place à la construction d'un gratte-ciel.
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◆ Top 3.60 sur 5 74
Pourquoi les Italiens votent pour Berlusconi ? La virulence de la propagande, l’impuissance des citoyens, un système économique précaire, des jeux de pouvoir illégaux...ou encore une catastrophe naturelle. Autant de facteurs, qui combinés, peuvent expliquer comment la jeune démocratie Italienne a été assujettie. Une enquête sous les décombres du tremblement de terre de l’Aquila du 6 avril 2009. La caricature de Berlusconi - une des imitations les plus célèbres de l’auteure - se promène dans le village de tentes de l’Aquila et erre dans la ville déserte, comme un empereur en fin de règne. Une ville dévastée par un tremblement de terre. L’endroit idéal pour raconter la dérive autoritaire de l’Italie et l'imbroglio de chantages, de scandales, d’escroqueries et d’inertie de la classe politique, des médias, des habitants et de tout ce qui paralyse ce pays. Pourquoi les Italiens votent-ils pour Berlusconi ? Pourquoi considèrent-ils que la démocratie n’est pas un système adapté pour gouverner la nation ? C’est l’Aquila, cette ville splendide rasée par le tremblement de terre, qui nous donne ces réponses. Pourquoi les habitants de l’Aquila, peuple montagnard et fier, ont-ils échangé ce qu’ils avaient de plus précieux, leur communauté, une ville dynamique pleine d’étudiants, d’oeuvres d’art, contre un petit appartement meublé par Berlusconi dans des cités dortoirs ? Pourquoi ont-ils cru la propagande de la télévision plutôt que ce qu’ils avaient sous les yeux? Et comment se fait-il que les autres aient été aussi rapides, aussi fourbes ? Qui les a appuyés? Les jours du règne de Berlusconi semblent comptés : c’est le moment de tirer les conclusions de cette expérience en fouillant les décombres pour récupérer ce que l’on peut.