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◆ Bien 3.11 sur 5 236
Sao Paulo. 20 millions d'habitants, 200 kms d'embouteillage, 300 000 coursiers. Au coeur de cette ville en transe, quatre frères essaient de se réinventer de manières différentes. Reginaldo, le plus jeune, cherche obstinément son père ; Dario rêve d'une carrière de footballeur, mais l'âge, 18 ans, le rattrape; Dinho se réfugie dans la religion tandis que l'aîné, Denis, déjà père d'un enfant, gagne difficilement sa vie. Leur mère, Cleusa, femme de ménage qui élève seule ses quatre enfants nés de pères différents, est à nouveau enceinte. A l'image d'un Brésil en état d'urgence et en crise identitaire, tous cherchent une issue.
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◆ Bof 2.25 sur 5 4
31 décembre 1999, Rio de Janeiro. Pour le prix de sa liberté, Joao doit éliminer un homme qui n'est autre que son meilleur ami. Au même moment, une jeune femme, terrassée par un chagrin d'amour, décide de mettre fin à ses jours. Le destin fera le reste, à minuit, sur le toit d'un immeuble surplombant la plage de Copacabana.
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◆ Bien 3.33 sur 5 3
A Sao Paulo, après le décès de sa mère, Paco décide d'accepter la proposition d'Igor, un trafiquant qui l'envoie à Lisbonne. Il y fait la rencontre d'Alex, une jeune serveuse brésilienne en exil.
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◆ sur 5
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◆ sur 5
Insolation raconte des histoires d'amour impossible. "L'amour et la perte. Surtout la perte". comme le dit un des personnages. Dans une ville déserte brûlée par le soleil, la fièvre de l'insolation se mêle à la naissance fragile de la passion. Comme des fantômes, les personnages errent entre immeubles et terrains vagues, à la recherche d'un amour inaccessible. Librement inspirées de contes russes du 19ème siècle, les histoires se mêlent et se démêlent dans la ville improbable de Brasilia, miroir déformé de l'utopie soviétique, érigée en plein milieu du désert brésilien. Paul José, acteur dont la vie est étroitement liée à l'histoire du cinéma brésilien, interprète le rôle d'Andrei, témoin nostalgique de ces histoires.
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◆ sur 5
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◆ sur 5