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◆ Sympa 2.75 sur 5 2
Le cinéaste est parti seul avec sa caméra dans un pays qu'il ne connaissait pas, le Rwanda, près de dix ans après le génocide : un voyage à travers l'inconcevable tel que le reconstruisent des rescapés par leur récit, des orphelins qui pratiquent les danses traditionnelles et leur mentor, Déo. Dans sa colline natale il remonte l'histoire d'une civilisation, d'un peuple d'éleveurs et d'agriculteurs mêlés, Tutsis et Hutus.
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◆ Bien 3.00 sur 5 1
La vie de Cédric et de ses amis au sein du service cancérologie de l'Institut Curie à Paris. Le réalisateur les accompagne au gré de leurs combats contre la maladie, de leurs réflexions, de leurs questions et de leurs révoltes.
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◆ Génial 5.00 sur 5 1
La République Marseille nous emmène à travers sept univers ( La Totalité du monde , Les Quais , L'Harmonie , Les Femmes de la cité Saint-Louis , Le Centre des Rosiers , Marseille dans ses replis et La République ) qui composent une ville comme une république, celle des dockers, des militants ouvriers, des femmes d'une cité jardin ou des habitants d'une énorme cité ghetto et, dans ses replis, à la rencontre de tout un peuple, ancien junkie, boxeur ou toutes jeunes filles devant la vie. "La République", une grande artère du centre ville. Face à une violente opération immobilière, toutes ces histoires viennent se rejouer.
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◆ sur 5
La totalité du monde, quel cinéaste ne rêverait pas d'en saisir, ne serait-ce qu'une bribe ? C'est un peintre qui emploie cette expression. Avant, fils d'ouvrier, il a été ouvrier, puis docker. Et sur ces mondes, il porte un regard à la fois intérieur et décalé. Un petit film pour commencer, comme pour ajuster notre regard.
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◆ sur 5
La République , à Marseille, c'est une artère de l'époque haussmannienne rachetée par deux groupes immobiliers. Elle se doit alors d'être embellie et la mairie la pare d'un tramway pour en faire le symbole d'une " reconquête du centre-ville ". Les habitants se parlent, se réunissent pour échanger leurs expériences et apprendre à se défendre. Ils étaient censés disparaître, ils se révèlent. Vincent, Jules et Monique, Madame Ben Mohamed et Madame Cary, certains ont un passé politique, d'autres pas, certains ont eu une vie tumultueuse, d'autres pas, c'est une petite république qui se monte là.
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◆ sur 5
Dans les rues de Marseille, Rene Allio retrouve les lieux de son enfance. Promenade souvenir dans les quartiers du Vieux Port, du Panier, de la Belle de Mai, d'ou descend le tramway et qui sert de toile de fond a l'auteur pour raconter l'histoire de sa famille, immigres italiens, venus travailler sur les chantiers marseillais.
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◆ sur 5
Durant une année, de Marseille à Charleroi, de Bruay à Genève, à travers des banlieues du bout du monde et des usines en friche, le cinéaste a remonté les lignes de rupture de la civilisation engendrées par des industries condamnées. De ces paysages incertains, des personnages viennent à nous : un jeune homme aux cheveux longs, une sage-femme, un ouvrier, une jeune Africaine...
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◆ sur 5
Max, quarante ans, "fait" les gares, joue les heteros et emmène sa nouvelle proie au bois de Boulogne pour arriver à ses fins.
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◆ sur 5
Nous sommes en 1984, l'Opéra de la Bastille va bientôt ouvrir ses portes. Une petite rue dans la ville. Trois couples, trois cafés comme trois scènes. Un italien se donne des airs de maquereau retiré des affaires, avec sa femme, ils vivent encore dans leur bistrot le Paris de "Casque d'or". Plus loin, un jeune Kabyle, Jane et leurs enfants, chez eux on danse le rock sur le comptoir ; au bout de la rue un couple d'homos : l'un tricote pendant que l'autre s'occupe de sa petite fille. On rit, on pleure sur son passé, on rêve et l'on raconte avec le cinéaste ce qu'est, ou ce qu'était, une rue populaire.
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◆ sur 5
Une drôle de nuit écrite à l'encre de Chine, avec des personnages qui s'entrecroisent.
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◆ Bof 2.35 sur 5
DAGUERRÉOTYPES n'est pas un film sur la rue Daguerre, pittoresque rue du 14ème arrondissement, c'est un film sur un petit morceau de la rue Daguerre, entre le numéro 70 et le numéro 90, c'est un document modeste et local sur quelques petits commerçants, un regard attentif sur la majorité silencieuse. C'est un album de quartier, ce sont des portraits stéréo-daguérréotypés. Ce sont des archives pour les archéo-sociologues de l'an 2975.
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◆ sur 5
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