-
◆ Top 4.00 sur 5 4
Ce documentaire propose un regard inédit sur les habitants de Palestine-Israël, le regard commun d'un Israélien et d'un Palestinien. Pendant plus d'un an, deux cinéastes, Eyal Sivan et Michel Khleifi , se sont consacrés à la réalisation de ce qu'ils considèrent comme un acte de foi cinématographique.
- Similaires Mieux notés Populaires Derniers Bande-Annonce
-
◆ sur 5
En pleine guerre du Golfe, a dix kilometres de Tel-Aviv, alors que les premiers missiles tombent sur la ville. Eyal Sivan decouvre l'existence d'un Luna Parc: Israland.
-
◆ sur 5
Aqabat Jaber est l'un des soixante camps de refugies palestiniens construits par l'ONU au debuts des annees 50 au Moyen-Orient. La guerre de 1967 poussa la majorite de la population du camp a fui vers l'autre rive du Jourdain. Aqabat Jaber devient une ville fantome.
-
◆ Top 4.00 sur 5
Israel en avril ou la vie d'un Etat vivant au rythme de sa memoire: la Paque juive, les commemorations de la Shoah, des soldats morts pour la patrie et le jour de l'independance. La memoire a un role determinant dans le systeme educatif israelien. Un peuple peut-il continuer a participer a la marche du monde en repetant a l'infini: "Notre avenir est derriere nous?"
-
◆ sur 5
Peut-on envisager la paix israelo-palestinienne sans le retour des refugies palestiniens a leur terre natale, devenue Israel?
-
◆ sur 5
-
◆ Bien 3.40 sur 5 10
-
◆ sur 5
Monsieur B., officier de la Stasi, a travaillé pendant vingt ans comme fonctionnaire au service de la surveillance et du contrôle du peuple, "un service public". Il a agi par amour : un amour inconditionnel et absolu pour son peuple, un amour aveugle et destructeur. Lorsque le vent tourne et que le régime, dont il faisait partie, change, Monsieur B. est licencié. Il se retrouve alors sans perspective ni avenir. Il est seul dans ce bureau qui n'est désormais plus le sien. B., un homme qui avait fait sienne la devise : "La confiance c'est bien, le contrôle c'est mieux" .
-
◆ Génial 5.00 sur 5
L’histoire de la Palestine et d’Israël s’articule autour de représentations, d’images et de clichés. Mais parmi tous ces symboles véhiculés et admis, un seul est commun aux deux : l’orange. Raconter l’histoire des Oranges de JaffaTM, c’est raconter l’histoire de cette terre à travers un récit riche et plus bouleversant qu’on ne le pense. Dans Jaffa, la mécanique de l’orange, se rencontrent la poésie, la peinture, le cinéma, les travailleurs de l’agrume et les historiens, la mémoire et le présent. Car sans l’orange, il n’est pas de futur possible.
-
◆ sur 5
Portrait de deux Palestiniennes: Farah Hatoum, cinquante ans, veuve qui vit a Nazareth en Galilee et Sahar Khalifeh, jeune romanciere qui vit a Ramallah, en Cisjordanie occupee. La condition de la femme palestinienne sour l'occupation israelienne.
-
◆ sur 5
La mobilisation generale dans la societe palestinienne pour la recuperation des droits legitimes et pour la reconnaissance de l'OLP comme unique representant du peuple palestinien: de la journee de la terre en passant par le sit-in dans la mosquee el-Haram el-Sharif de Jerusalem jusqu'au bouclage severe de la ville de Halhoul/Hebron par l'armee israelienne.
-
◆ sur 5
Ma'loul est un village palestinien de Galilee. Il fut detruit par les forces armees israeliennes en 1948. Ses habitants furent chasses et expropries. Il ne reste plus du village que deux eglises et une mosquee, dernieres traces visibles. Un jour par an, le jour de l'independance de l'Etat d'Israel, les anciens habitants de Ma'loul pique-niquent sur l'emplacement du village detruit.
-
◆ sur 5
Apres les accords de Camp David, les colons israeliens etaient persuades de ne jamais quitter le Sinai. Ils vivaient bien, et regnaient comme maitres absolus sur la masse des ouvriers palestiniens, coinces entre la politique de paix du president Sadate et leurs aspirations nationales.
- Afficher plus de films ...