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◆ Sympa 2.64 sur 5 7
Depuis quelques années, les chantiers de l'Atlantique à Saint-Nazaire ont mis en place une nouvelle organisation du travail afin de baisser les coûts de production. Le principe est de faire massivement appel à la sous-traitance et à l'intérim. Parallèlement à la construction du plus grand paquebot du monde, le Queen Mary 2, les salariés des chantiers nous racontent comment ils vivent cette précarité organisée. Quelles conséquences cette réorganisation induit-elle au niveau individuel et collectif ? Quels changements implique-t-elle dans les conditions et les rapports au travail ?
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◆ sur 5
Decembre 1995, la reforme de la Securite sociale, autrement dit le plan Juppe, souleve l'opposition des fonctionnaires et mobilise le personnel de la SNCF. Celui-ci s'engage dans une nouvelle greve en refusant aussi un enieme contrat de plan. Elle paralyse tout le pays pendant trois semaines. Deux jeunes realisateurs s'installent dans les locaux de la gare d'Austerlitz et accompagnent les acteurs de la greve jusqu'au bout de l'experience incertaine mais exaltante.
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◆ sur 5
Decembre 1995, au depot de la gare d'Austerlitz, des hommes, des idees et des reves.
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◆ Top 3.67 sur 5 26
C'est un film sur l'engagement politique, au plus près de la vérité d'une femme chilienne, Carmen Castillo, qui survit à son compagnon, Miguel Enriquez, chef de la Résistance contre la dictature de Pinochet, mort au combat, rue Santa Fe, dans les faubourgs de Santiago du Chili, le 5 octobre 1974. Un récit tendu par une interrogation : tous ces actes de résistance valaient-ils la peine ? Miguel et les autres sont-ils morts pour rien ? Au fil des rencontres avec les habitants de la rue Santa Fe, la famille, les amis, leurs vies, leurs visages, Carmen Castillo parcourt un chemin, qui va de la clandestinité à l'exil, des jours lumineux d'Allende aux longues années sombres de la dictature, avec tous ceux qui ont combattu et ceux qui résistent encore aujourd'hui. Se tissent l´histoire d'une génération de révolutionnaires et celle d'un pays divisé. La quête du sens de ces vies engagées nous conduira dans les sous-sols d'un pays amnésique où les morts ne sont pourtant pas morts et où les jeunes inventent, une nouvelle fois, un rêve.
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◆ Top 4.40 sur 5 5
Au collège de Marciac, certains élèves ont choisi l'option-jazz dont l'objectif n'est pas forcément d'en faire des musiciens professionnels mais de parier que, grâce à la musique, la culture au sens large continuera à occuper une part importante dans leur vie future. C'est dans cet esprit qu'arrivent au collège les musiciens du goupe Fölifö de Guinée (le groupe a accompagné le grand saxophoniste Momo le Doyen à qui Laurent Chevallier avait consacré un long métrage) invités par le proviseur. Ils initient les élèves à un jazz joué avec les instruments traditionnels africains puis les emmènent à Conakry, sur le continent noir où sont les racines du jazz et partagent un moment de leur vie avec eux. Ce film sur l'Afrique, la musique, le jazz, la transmission et l'adolescence nous invite à partager cette expérience unique et émouvante vécu par les élèves et les musiciens.
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◆ Sympa 2.81 sur 5 13
Les débuts de deux cinéastes emblématiques de la Nouvelle Vague, Jean-Luc Godard et François Truffaut...
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◆ Sympa 2.63 sur 5 4
Ce film raconte comment deux hommes, l'un paysan dans le désert marocain, et l'autre, immigré en banlieue parisienne, se battent ensemble pour que leur rêve se réalise : faire sortir du désert une pépinière. Leur but à terme est de vendre leurs arbustes et de pouvoir embaucher les fils des fellahs très pauvres de cette région pour les empêcher de partir vers les paradis illusoires de l’Europe...
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◆ Bien 3.49 sur 5 111
Au Chili, à trois mille mètres d'altitude, les astronomes venus du monde entier se rassemblent dans le désert d'Atacama pour observer les étoiles. Car la transparence du ciel est telle qu'elle permet de regarder jusqu'aux confins de l'univers. C'est aussi un lieu où la sécheresse du sol conserve intacts les restes humains : ceux des momies, des explorateurs et des mineurs. Mais aussi, les ossements des prisonniers politiques de la dictature. Tandis que les astronomes scrutent les galaxies les plus éloignées en quête d'une probable vie extraterrestre, au pied des observatoires, des femmes remuent les pierres, à la recherche de leurs parents disparu …
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◆ Top 3.50 sur 5 2
Des femmes de la diaspora malienne, vivant à Montreuil en Seine-Saint-Denis, s’adressent dans une “lettre filmée” à une personne de leur choix, réelle ou imaginaire. Des femmes de Bamako et de Kayes au Mali s’en inspirent ensuite librement, pour réaliser à leur tour leur “lettre filmée”. Chacune était invitée à parler de son travail, chacune a saisi l’occasion pour dire ce qui est important pour elle. Toutes ont participé aux étapes successives de la fabrication de ces courts métrages, dans le cadre d’ateliers de création audiovisuelle en France et au Mali. L’ensemble forme un film qui enjambe les distances, fait résonner les voix qui expriment les passions, les frustrations, la force de ces femmes.
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◆ Génial 4.50 sur 5 2
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, s'ouvre à Nüremberg le procès des dirigeants nazis. Il préfigure l'avènement de la justice pénal international. Depuis novembre 1994, à Arusha (capitale de la Tanzanie), le Tribunal Pénal International pour le Rwanda (TPIR) est chargé par les Nations Unies de juger les responsables du génocide rwandais. Devant une communauté internationale aphone, celui-ci fît quelque mois plus tôt, d'avril à juin 1994, près d'un million de victimes, principalement Tutsis. Comment la justice internationale s'exerce-t-elle au delà de ses fondements politiques? Qu'est-ce que juger à l'aune d'une conscience universelle? S'appuyant sur les propres archives du Tribunal Pénal International pour le Rwanda, le film D'Arusha à Arusha met en scène le fonctionnement d'une diplomatie judiciaire.
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◆ Bien 3.11 sur 5 9
Moustache à l'ancienne, vêtements made in fripes et réveil-matin à la main, une drôle de silhouette hante les rues du 10e arrondissement de Paris. C'est celle de Christian de Rabaudy, un professeur de philosophie retraité atteint d'une maladie banale et pourtant mortelle : le diabète. Autour de lui, une famille adoptive composée principalement de jeunes filles en fleurs et du réalisateur, un Iranien venu du désert perse. Une relation s'instaure, dans laquelle Christian donne à voir un verbe en mouvement perpétuel, un sens exotique du quotidien, et la douce inspiration de sa "folie" pas ordinaire.
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◆ Génial 4.63 sur 5 15
Regardé de loin et appréhendé de l’extérieur, le vieillissement effraie. Pourtant en écoutant ceux qui la vivent, la vieillesse ne saurait être réduite à l’altération du corps. Alors que le physique tend vers moins de mobilité, l’esprit ne développe-t-il pas plus de souplesse ? Le grand âge peut-il être porteur de nouvelles promesses ? Six octogénaires témoignent intimement de leurs tentatives de s’adapter aux difficultés physiques et d’accepter les désirs qui changent. Leur longue expérience et leur soif de vie les incitent à se détacher des contraintes quotidiennes pour savourer un temps pour soi.