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◆ Top 3.50 sur 5 2
Des femmes de la diaspora malienne, vivant à Montreuil en Seine-Saint-Denis, s’adressent dans une “lettre filmée” à une personne de leur choix, réelle ou imaginaire. Des femmes de Bamako et de Kayes au Mali s’en inspirent ensuite librement, pour réaliser à leur tour leur “lettre filmée”. Chacune était invitée à parler de son travail, chacune a saisi l’occasion pour dire ce qui est important pour elle. Toutes ont participé aux étapes successives de la fabrication de ces courts métrages, dans le cadre d’ateliers de création audiovisuelle en France et au Mali. L’ensemble forme un film qui enjambe les distances, fait résonner les voix qui expriment les passions, les frustrations, la force de ces femmes.
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◆ sur 5
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◆ Bien 3.48 sur 5 24
Pour la première fois, après trois ans d’existence, le CGLPL (Contrôle général des lieux de privation de liberté) accepte qu’une équipe de tournage le suive dans son travail, minutieux, essentiel de contrôle des droits fondamentaux dans les prisons, hôpitaux psychiatriques, commissariats… Stéphane Mercurio a suivi une quinzaine de contrôleurs. Leurs lieux de mission : la maison d’arrêt de femmes de Versailles, l’hôpital psychiatrique d’Evreux, la Centrale de l’île de Ré, et enfin la toute nouvelle prison de Bourg-en-Bresse. Pendant ces quelques semaines d’immersion à leurs côtés au coeur des quartiers disciplinaires, dans les cours de promenade des prisons ou dans le secret des chambres d’isolement, un voile se lève sur l’enfermement et la réalité des droits fondamentaux en ces lieux
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◆ Sympa 2.64 sur 5 7
Depuis quelques années, les chantiers de l'Atlantique à Saint-Nazaire ont mis en place une nouvelle organisation du travail afin de baisser les coûts de production. Le principe est de faire massivement appel à la sous-traitance et à l'intérim. Parallèlement à la construction du plus grand paquebot du monde, le Queen Mary 2, les salariés des chantiers nous racontent comment ils vivent cette précarité organisée. Quelles conséquences cette réorganisation induit-elle au niveau individuel et collectif ? Quels changements implique-t-elle dans les conditions et les rapports au travail ?
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◆ Génial 4.50 sur 5 2
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, s'ouvre à Nüremberg le procès des dirigeants nazis. Il préfigure l'avènement de la justice pénal international. Depuis novembre 1994, à Arusha (capitale de la Tanzanie), le Tribunal Pénal International pour le Rwanda (TPIR) est chargé par les Nations Unies de juger les responsables du génocide rwandais. Devant une communauté internationale aphone, celui-ci fît quelque mois plus tôt, d'avril à juin 1994, près d'un million de victimes, principalement Tutsis. Comment la justice internationale s'exerce-t-elle au delà de ses fondements politiques? Qu'est-ce que juger à l'aune d'une conscience universelle? S'appuyant sur les propres archives du Tribunal Pénal International pour le Rwanda, le film D'Arusha à Arusha met en scène le fonctionnement d'une diplomatie judiciaire.
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◆ Bien 3.11 sur 5 9
Moustache à l'ancienne, vêtements made in fripes et réveil-matin à la main, une drôle de silhouette hante les rues du 10e arrondissement de Paris. C'est celle de Christian de Rabaudy, un professeur de philosophie retraité atteint d'une maladie banale et pourtant mortelle : le diabète. Autour de lui, une famille adoptive composée principalement de jeunes filles en fleurs et du réalisateur, un Iranien venu du désert perse. Une relation s'instaure, dans laquelle Christian donne à voir un verbe en mouvement perpétuel, un sens exotique du quotidien, et la douce inspiration de sa "folie" pas ordinaire.
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◆ Génial 4.63 sur 5 15
Regardé de loin et appréhendé de l’extérieur, le vieillissement effraie. Pourtant en écoutant ceux qui la vivent, la vieillesse ne saurait être réduite à l’altération du corps. Alors que le physique tend vers moins de mobilité, l’esprit ne développe-t-il pas plus de souplesse ? Le grand âge peut-il être porteur de nouvelles promesses ? Six octogénaires témoignent intimement de leurs tentatives de s’adapter aux difficultés physiques et d’accepter les désirs qui changent. Leur longue expérience et leur soif de vie les incitent à se détacher des contraintes quotidiennes pour savourer un temps pour soi.
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◆ sur 5
Tourné au Costa Rica, à Hawaii, à Hong Kong et en Nouvelle Zélande, le film nous offre le témoignage de douze femmes homosexuelles abordant des sujets aussi divers que la pression sociale, le besoin de rituels, la religion, la mort d'une partenaire.... A travers le prisme d'une minorité, le film questionne l'influence de l'environnement sur tout individu et nous renvoie cette interrogation : quelle liberté dans la construction de nos vies ?
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◆ Bien 3.28 sur 5 9
Ce film se propose d'extraire l'orchestre symphonique de son abstraction, de lui donner du corps, de l'humaniser, pour prendre la mesure du travail qui précède et accompagne le concert, tout ce qui en conditionne l'existence. Le film se situe résolument du côté du travail, de ses conditions, de ses spécificités, finesses et drôleries. Pour donner à la magie musicale tout son soubassement logistique, en renforcer la force émotionnelle, mesurer toute l'envergure de ce phénomène de raffinement, à tous les étages de son élaboration.
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◆ sur 5
Cinq mères de famille racontent leurs braquages dans le Vaucluse.
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◆ Bien 3.39 sur 5 27
Brésil. Nordeste. Une immense station-service au milieu d'une terre brulée, traversée par une route sans fin. Cocada et Nego ont 13 et 14 ans. Cocada a une rêve, devenir chauffeur routier. Il dort dans une cabine de camion et, la journée, il rend service et fait des petits boulots. Son père est mort assassiné alors il s'est trouvé un père de substitution, Mineiro. Un routier qui prend le temps de lui parler et de le soutenir quand la tentation de l'argent mal acquis se fait trop forte. Nego, lui, vit dans une favela, entouré d'une innombrable fratrie. Après le travail des champs, sa mère voudrait qu'il aille à l'école pour qu'il ait une éducation mais Nego veut se sortir de là, gagner de l'argent. Le soir, il rôde à la station, fasciné par les vitrines allumées, les commerces qui vendent de tout, la nourriture abondante. Avec son copain Cocada, ils regardent le mouvement incessant des camions et des voyageurs. Tout leur parle une langue dont ils en savent rien. Avec cette singulière maturité qu'on acquiert trop tôt dans l'adversité, ils s'interrogent sur leur identité et leur avenir. Leur seule perspective : une route vers Sao Paulo, vers un ailleurs.
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◆ sur 5
Les paroles de Mazarine Pingeot sur la manière dont elle a vécu son enfance.
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