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◆ Bien 3.43 sur 5 114
Dans cette guerre économique, qu'on nous avait promise il y a bien des années et qui avance comme un rouleau compresseur, existe-t-il encore un sursaut d'imagination pour résister ? Mis en demeure de choisir entre les miettes du salariat précaire et la maigre aumône que dispense encore le système, certains désertent la société de consommation pour se réapproprier leur vie. " Ni exploitation, ni assistanat ! " clament-ils pour la plupart. Ils ont choisi une autre voie, celle de l'autonomie, de l'activité choisie et des pratiques solidaires...
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◆ Top 3.92 sur 5 126
Peut-on considérer la question du travail sous l'angle du refus sans provoquer d'emblée la réprobation générale ? Est-il possible d'aborder le thème du chômage sans le présenter sous le signe exclusif de la tragédie, mais en y décelant au contraire un des moyens d'échapper aux griffes de l'exploitation et de reconquérir son temps de vie ? Attention danger travail en propose l'expérience en présentant une série d'entretiens avec des chômeurs qui ne paraissent ni accablés, ni désespérés.
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◆ sur 5
"Travaillez plus pour gagner plus". Tel est le slogan du candidat Nicolas Sarkozy lors de la campagne des élections présidentielles. Relayé par l'ensemble des médias, ce mot d'ordre est refusé par les tenants de la décroissance. Qui dit mieux explore ce courant de pensée qui dénonce l'obsession de la croissance à tout prix.
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◆ Top 3.68 sur 5 76
Pierre Carles filme ici la "pensée en mouvement" de Pierre Bourdieu, donnant à voir le combat généralement invisible que mène le sociologue contre l'ordre dominant.
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◆ Bien 3.38 sur 5 8
Un verrou qui cède, une porte qui s’ouvre, des cris de joie qui retentissent : un logement condamné est redevenu libre. Simple comme bonjour, la réappropriation qui ouvre le film de Christophe Coello est d’abord un moment d’intense vitalité. Jubilation de déjouer les plans de la société immobilière qui a entrepris de vider l’immeuble de ses habitants, jubilation de redonner vie à un bout de ville morte, jubilation de conquérir un toit au nez et à la barbe des promoteurs et au soulagement des derniers voisins.
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◆ Top 3.86 sur 5 88
En 1995, Pierre Carles, sur une commande de Canal + pour sa "Journée de la télé", réalise "Pas vu à la télé", un documentaire montrant des hommes politiques et des stars des médias surpris en flagrant délit de connivence. Canal + ne diffusera jamais ce reportage. Histoire d'une censure, ou pourquoi l'information nous désinforme.
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◆ sur 5
L'absurdité du Grand Capital exposée au travers d'un programme de trois petits films : "Le Temps des Bouffons" (15min, 1985), "Le Désarroi esthétique (14min, 1996) et "L'initiation" (63min, 2008).
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◆ Top 3.81 sur 5 42
A travers ce documentaire, Pierre Carles prend pour cible les faux critiques de la télévision, dont la figure emblématique n'est autre que Daniel Schneidermann, l'animateur de l'émission "Arrêt sur images".
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◆ Top 3.59 sur 5 60
Georges Bernier est mort le 10 janvier 2005 à 75 ans. Les quelques articles nécrologiques parus dans la presse française ont insisté sur le caractère scatologique de son humour et l'aspect provocateur du bonhomme. Personne ne rappelait l'essentiel, à savoir qu'avec lui, c'est non seulement l'un des grands patrons de la presse française qui disparaissait mais également un artiste à part entière, unique en son genre : le professeur Choron.
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◆ Top 3.57 sur 5 49
Pierre Carles s'interroge sur la privatisation de la première chaîne de télévision française : n'est-il pas scandaleux que TF1/Bouygues ait vu sa concession renouvelée automatiquement depuis 1987 ? Reprenant son combat anti-télé inauguré avec Pas vu pas pris , son premier film, il se confronte aux responsables de l'information qui ont toujours évité d'aborder ce sujet tabou. Mais l'enquête ne se déroule pas comme prévu : les vieux dinosaures et les jeunes gardiens du PAF savent désormais comment s'y prendre avec le critique des médias. Pour retrouver son « fighting spirit », Carles bat le rappel de ses amis et change de méthodes... Dorénavant, finies les concessions !
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◆ sur 5
Des militaires français parlent de leur rapport au SIDA, de leurs peurs, de leurs doutes, et de leurs relations sentimentales et sexuelles.
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◆ Top 3.57 sur 5
Le service des urgences psychiatriques de l'Hôtel Dieu, unique hôpital a recevoir quiconque à toute heure sans exception d'âge, de sexe, de pays. Un constat lucide et un regard spontané en dehors de l'inévitable morale humaniste.
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◆ Navet 1.90 sur 5
Raymond Depardon commente des planches contacts qu'il a choisies. Ce film fait partie d'une série, qui compte les contributions d'autres grands photographes comme William Klein ou Henri Cartier-Bresson.
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