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    La Traviata (UGC Viva l'Opéra) : Affiche

    La Traviata (UGC Viva l'Opéra)

    La Scala de Milan. Opéra en trois actes. La courtisane Violetta donne une fête chez elle. On lui présente le jeune Alfredo qui lui avoue son amour et la presse d’y répondre. Elle hésite et finalement part vivre avec lui à la campagne. Mais le père d’Alfredo la retrouve, lui fait un odieux chantage familial et, malgré la maladie qu’elle lui révèle et la vérité de son amour, la force à quitter Alfredo. Revenue à la vie mondaine, elle croise Alfredo qui, ignorant ce qui s’est passé, l’insulte publiquement. Mais la maladie terrasse bientôt Violetta et la réduit à la solitude et à la misère. Quand, alerté par son père qui lui a enfin avoué le sacrifice de la jeune femme, Alfredo accourt jusqu’à elle, il est trop tard : elle meurt dans ses bras.
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    Eugène Onéguine (UGC Viva l'Opéra) : Affiche

    Eugène Onéguine (UGC Viva l'Opéra)

    Pour faire d’abord découvrir un chef d'oeuvre du romantisme slave apprécié des lyricomanes mais pas encore suffisamment connu du grand public, pour la Tatiana bouleversante de pudeur et d'émotion de Renée Fleming, le Lenski de Ramón Vargas, l'Onéguine insurpassable de Dmitri Hvorostovsky, pour la mise en scène raffinée de Robert Carsen et la direction enflammée de Valery Gergiev. Eugène Onéguine est un jeune dandy oisif et blasé. Profitant d'un héritage, il se retire à la campagne. Son ami et poète Vladimir Lenski l’entraîne chez les Larina, de nobles campagnards dont Lenski compte épouser la fille cadette, Olga. La soeur aînée d'Olga, Tatiana, tombe amoureuse d'Onéguine au premier regard. Brûlant de cet amour, elle lui écrit une lettre enflammée, mais Onéguine l'éconduit. Quelques temps plus tard, Lenski insiste pour qu'Onéguine assiste au bal donné à l'occasion de l'anniversaire de Tatiana. Las d’ennui, Onéguine décide de se venger en jouant les séducteurs auprès d'Olga, au grand désespoir de Lenski. Celui-ci, se sentant trahi, demande réparation et défie son ami en duel. Onéguine tue Lenski et quitte la campagne. Quelques années plus tard à Saint-Pétersbourg, Onéguine se rend à une réception. Il y retrouve Tatiana, qui a épousé le vieux général Grémine. Il tombe éperdument amoureux d’elle, envoyant lettre sur lettre à sa bien-aimée, sans jamais recevoir de réponse. Onéguine finit par se rendre chez Tatiana et la surprend en train de verser des larmes sur sa dernière missive. Elle lui dit alors qu'elle l'aime toujours, mais qu'elle veut rester fidèle à son mari.
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    Simon Boccanegra (UGC Viva l'Opéra) : Affiche

    Simon Boccanegra (UGC Viva l'Opéra)

    La Scala de Milan. 1 prologue et 3 actes dont 1 entracte de 20 minutes. Pour le Simon Boccanegra de Placido Domingo – ou la reconversion d'un immense ténor en baryton de premier ordre, pour le Fiesco royal de Ferrucio Furlanetto, pour l'Amelia de la soprano allemande d'origine grecque Anja Harteros, sans nul doute la seule voix capable aujourd'hui de rivaliser avec la Netrebko, pour la direction de Daniel Barenboim – et pour une des oeuvres majeures de Verdi. Au 16ème siècle, Gênes est déchirée par les luttes entre patriciens et plébéiens. Le marin Simon Boccanegra et son amante Maria font les frais de ces querelles intestines. Le père de Maria n’est autre que le doge de la ville, le patricien Fiesco. Lorsqu’il apprend que sa fille a donné un enfant à Simon, il l’enferme. A l’approche des élections, Simon se laisse convaincre de se présenter, voyant là son unique chance d’obtenir la main de Maria. Il ignore encore que celle-ci vient de mourir...
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    La force du destin (UGC Viva l'Opéra) : Affiche

    La force du destin (UGC Viva l'Opéra)

    Pour la puissance lyrique et la richesse dramatique de cette oeuvre centrale dans la production de Verdi, pour le caractère fatal de la passion comme rarement mis en oeuvre, pour la Leonora de Violetta Urmana, l'Alvaro de Marcelo Alvarez ou le Fra Melitone de Nicola Alaimo, pour la mise en scène très attendue de Jean-Claude Auvray, pour la direction elle aussi très attendue de Philippe Jordan confronté à son premier Verdi parisien – et pour la fièvre du direct. Séville, au milieu du XVIIIème siècle. L'histoire d’amour entre Leonora di Vargas et Don Alvaro tourne au tragique lorsque ce dernier tue accidentellement le père de la jeune fille, le marquis de Calatrava. Craignant la vengeance de son frère, Carlo, Leonora se réfugie au couvent de Hornachuelos, alors qu'Alvaro s'engage dans l'armée espagnole en Italie, au Sud de Rome. Il y sauve la vie d’un adjudant qui n’est autre que Carlo, mais ils ne se reconnaissent pas tout de suite. Blessé plus tard lors des combats, Alvaro récupère, mais une fois la vérité révélée, le duel entre les deux hommes est évité de peu. Alvaro, retourne en Espagne. Cinq ans plus tard, Carlo retrouve son ennemi devenu homme d’église à l’ermitage de Hornachuelos. Cette fois, Alvaro se défend et blesse mortellement Carlo, ne pouvant cependant empêcher ce dernier de poignarder sa propre soeur.