Harakiri

Au XVIIe siècle, le Japon n'est plus en guerre et le pays est dirigé avec fermeté. Hanshirô Tsugumo, un rônin (samouraï errant) sans travail parmi tant d'autres, décide de frapper à la porte du puissant clan des Ii. Reçu par Kageyu Saitô, l'intendant du clan, il lui demande la permission d'accomplir le suicide par harakiri dans la résidence. Tentant de l'en dissuader, Saitô commence alors à lui raconter l'histoire de Motome Chijiwa, un ancien rônin qui souhaitait accomplir, lui aussi, le même rituel.

Shuhei Hirayama vit avec sa fille Michiko. L'exemple d'un de ses professeurs, qu'il retrouve lors d'une soirée où l'on boit du saké et qui s'accuse d'avoir provoqué le malheur de sa fille, pousse Hirayama à marier sa propre fille.

Au XVIIIe siècle, à Osaka, Jihei, un célèbre marchand, laisse derrière lui sa famille, son travail et sa réputation pour aller vivre avec Koharu, une charmante courtisane.

Evocation du destin de Sharaku, peintre d'estampes de la fin du XVIIIe siecle, qui se rendit celebre en quelques mois par ses portraits hyper realistes d'acteurs du theatre kabuki. Il disparut quelques annees plus tard dans des conditions restees mysterieuses.

En 1921, au Japon, le chef du groupe de yakuzas de Shikoku est marié, a deux maîtresses, mais pas d'enfant. C'est pourquoi il décide d'adopter un pré-adolescente, avec qui il devient si proche que même la naissance de son enfant naturel ne peut les séparer.