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◆ Génial 4.50 sur 5
Vers 1570, la Reine du Portugal envoie des orphelines au Brésil pour épouser des colons. L'une d'entre elles, Oribela, découvre avec horreur les pratiques incestueuses de sa famille d'adoption. Elle tente de fuir mais ne tarde pas à être reprise. Emprisonnée, elle a pour compagne de cellule une Indienne, qui lui redonnera le goût de vivre.
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◆ Bien 3.33 sur 5 129
Brésil, 1970, la Coupe du Monde de football bat son plein et le régime politique se durcit. C'est dans ce contexte chaotique que les parents de Mauro, 12 ans, décident de "partir en vacances". En réalité, ils fuient la dictature et confient leur fils à son grand-père. Mais celui-ci n'est pas au rendez-vous et Mauro est recueilli par la communauté haute en couleur du quartier juif de Sao Paulo. L'été de tous les dangers devient celui de tous les bonheurs.
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◆ Génial 4.75 sur 5 4
André est le fils égaré. Pedro, son frère aîné, est chargé par leur mère de le ramener au foyer. Il le trouve dans l'abandon d'une vieille pension de province en proie à une solitude absolue. C'est par les souvenirs du fils prodigue que nous apprenons les causes de sa fugue : l'impatience entre le joug de la loi paternelle et l'oppression de la tendresse maternelle. Contrairement à son père, André est l'affirmation de la vie, du sexe et de la liberté. Son corps réclame ses droits et les exerce contre toutes les lois, par l'inceste. L'adolescent tombe en effet amoureux de sa propre soeur Ana...
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◆ sur 5
Insolation raconte des histoires d'amour impossible. "L'amour et la perte. Surtout la perte". comme le dit un des personnages. Dans une ville déserte brûlée par le soleil, la fièvre de l'insolation se mêle à la naissance fragile de la passion. Comme des fantômes, les personnages errent entre immeubles et terrains vagues, à la recherche d'un amour inaccessible. Librement inspirées de contes russes du 19ème siècle, les histoires se mêlent et se démêlent dans la ville improbable de Brasilia, miroir déformé de l'utopie soviétique, érigée en plein milieu du désert brésilien. Paul José, acteur dont la vie est étroitement liée à l'histoire du cinéma brésilien, interprète le rôle d'Andrei, témoin nostalgique de ces histoires.
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◆ sur 5
Récit politique et existentiel, "Luz nas trevas – A volta do bandido da Luz Vermelha" évoque l’histoire de Luz Vermelha, un légendaire bandit de Sao Paulo, à travers le personnage de son fils – le hors la loi nommé Tudo ou Nada (tout ou rien). Celui-ci, un Don Juan de pacotille adulé par les femmes qui finance ses bons plaisirs par des vols à main armée, vend son butin dans la ville portuaire de Santos, tandis que son père purge une peine pour vol. Parmi les enquêteurs, tous se posent la même question: «Qui est cet homme? Serait-il une pâle copie de Luz Vermelha?» Les rumeurs vont bon train et la panique saisit la mégalopole brésilienne.
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◆ Top 3.63 sur 5 4
Brésil, années 50. Miguel est issu de la classe moyenne; Jorge vit dans les favelas. Le père du premier est journaliste, celui du second compositeur de samba. Le reportage que l'un consacre à l'autre provoque la rencontre de deux univers. Sur trois décennies, les années 50, 70 et actuelles, on suit les personnages de Miguel et Jorge, enfants, jeunes adultes puis cinquantenaires, dans leurs prises de positions politiques, d'abord divergentes puis communes. Mais la connivence des deux amis pourra-t-elle survivre aux soubresauts de l'Histoire ?
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◆ Top 3.50 sur 5
Neto, un adolescent dont le père a trouvé de la drogue dans les poches, est envoyé en hôpital psychiatrique. Cela finit de plonger la famille dans la tragédie.
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