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◆ Sympa 2.83 sur 5 3
Apres avoir ecrit "Pendant les affaires, les affaires continuent", Denis Robert, journaliste a "Liberation" pendant douze ans, recidive, mais cette fois avec un film realise avec Philippe Harel qui est un prolongement de son livre. Sujet: les affaires et les gens qui s'en occupent, patrons, grands et petits, juges, avocats, hommes politiques et faux facturiers.
- Similaires Mieux notés Populaires Derniers Bande-Annonce
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◆ sur 5
Le rituel du soir d'un couple de personnes agées.
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◆ Génial 5.00 sur 5
Voyage au coeur de la finance mondiale à travers ce reportage au Luxembourg et en Belgique sur les circuits officiels du blanchiment d'argent.
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◆ Sympa 2.50 sur 5
Un documentaire qui analyse le thème du journalisme dans le cinéma américain avec le concours de Edwy Plenel, Jean Hatzfeld, Denis Robert et d'autres journalistes qui, pour l'occasion, passent de l'autre côté du micro pour jeter des ponts entre réalité et fiction.
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◆ Top 3.57 sur 5 7
En 1948, en Martinique, dans un climat de grève sur une habitation sucrière, un géreur, blanc créole, est assassiné de 36 coups de coutelas et retrouvé mort dans un champ de cannes de la plantation qu'il administre. Après une chasse à l'homme de plusieurs semaines, 16 coupeurs de cannes noirs sont arrêtés et maintenus en détention préventive pendant trois ans. En 1951, leur procès, renvoyé à Bordeaux, ancien port négrier, avec l'assurance d'un verdict exemplaire et sans appel, deviendra le premier procès du colonialisme français aux Antilles, jugé devant "ses pères".
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◆ Bien 3.21 sur 5 7
Années 60. La Martinique, ancienne colonie devenue département français d’outremer en 1946, s’enlise dans un "indéfectible attachement à la France" alors que le grand souffle des luttes d’indépendances s’étend à travers le monde. La guerre d’Algérie portée sur le territoire français contraint de se positionner, de s’engager. Une affiche aux couleurs chatoyantes apparaît au petit matin du 23 décembre 1962 sur tous les murs des bâtiments publics, écoles, commissariats, mairies, églises en tout point de la Martinique. Cet affichage massif, clandestin et nocturne porte en lettres capitales un slogan incantatoire "LA MARTINIQUE AUX MARTINIQUAIS". Le signataire, l’OJAM, Organisation de la Jeunesse Anticolonialiste de la Martinique, affiche ainsi sa volonté nationaliste. Cette organisation de jeunes gens serait pilotée par des étudiants et des personnalités intellectuelles de la diaspora antillaise à Paris, séparatistes et intouchables, préparant la lutte de libération nationale avec le soutien logistique du FLN, fraîchement victorieux en Algérie. Le mouvement porte le spectre des évènements algériens, le gouvernement gaulliste doit mettre un terme à une possible "fellaghalisation" des Antilles. Dix-huit jeunes "ojamistes" martiniquais dont cinq membres du Parti Communiste Martiniquais sont inculpés en février 1963 pour complot et atteinte à l’intégrité du territoire national, en d’autres termes de volonté séparatiste.
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◆ sur 5
Un film de la serie televisee Reportages, consacre aux provinciaux qui decident de monter a Paris a travers le parcours de Marie-Angele, quittant son Pays basque natal pour chercher du travail dans la capitale.
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◆ Bof 2.09 sur 5 11
C'est une vieille histoire : auparavant on parlait de la traite négrière, aujourd'hui c'est simplement un business qui va de l'artisanat local au réseau organisé. Le film tisse la toile d'un réseau anarchique et international de spéculation et de trafic de jeunes garçons africains, agissant sous l'égide du culte du football mondialisé. Des taudis d'Accra et d'Abidjan aux rutilants temples du sport financés par les pétrodollars, il nous mène sur la piste d'Ananse, l'araignée, figure ancestrale du folklore, qui ruse, trompe et manipule ses pairs. Des familles entières sont prêtes à y sacrifier leurs seuls biens. Alors sur le marché des êtres humains, faute de trouver le diamant, l'or des fous fera l'affaire.
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◆ Top 4.07 sur 5 15
En juin 1994, Kigali, la capitale du Rwanda, est livrée aux milices extrémistes Hutu ainsi qu'à l'armée rwandaise. L'auteur, reporter-caméraman à l'époque des faits, est atteint d'une balle à la hanche lors de l'attaque d'une paroisse où se trouve dissimulé une centaine de réfugiés. Dix ans après, il décide de retourner sur les lieux pour retrouver les éventuels survivants. Le film propose une réflexion sur le traitement à la fois médiatique et politique de ces évènements.
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◆ Top 3.50 sur 5
A Cannes, du haut des marches du Palais du Festival, Gilles Jacob voit venir à lui depuis plus de 30 ans le monde du cinéma. Lui, le spectateur acharné du cinéma du monde entier. Cette position de président du plus grand festival du monde, Gilles Jacob la doit avant tout à cette cinéphilie qu’il cultive (comme on cultive son jardin) depuis toujours. Les hasards de la vie ont fait qu’il a pu également accrocher une autre corde à son arc : celle d’un gestionnaire qui lui a permis de trouver, dans cet équilibre si fragile de l’Art et de l’Industrie où se tient le cinéma, la trajectoire d’un Festival où sont réunis les plus grands auteurs du 7ème Art, à côté du plus important marché du film au monde.