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◆ Bof 2.25 sur 5
Frédéric Laffont et Isabelle Dupuy-Chavanat nous font voyager au cœur des ateliers Hermès. Hommes et femmes y travaillent la matière, avec minutie, mettant en œuvre tout leur savoir, leur patience, leur passion, pour composer un objet unique, hors du temps. De cette partition de gestes, de paroles, de regards, de silences, se révèle quelque chose de sensoriel dans ce face-à-face entre l’Homme et la matière.
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◆ sur 5
Promenade dans les ruelles et les arcanes de Jerusalem.
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Parti a la rencontre des joueurs de l'equipe de football du Nejmeh, Frederic Laffont met en valeur le plaisir du jeu et les vertus federatrices du sport, au-dela de la guerre et des luttes fratricides qui ont dechire les Libanais pendant des annees.
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◆ sur 5
Apres le genocide rwandais, la justice sera-t-elle rendue? Quelques personnes tentent d'etablir les faits, de recueillir les temoignages, d'ecrire l'Histoire.
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◆ Sympa 2.75 sur 5 2
Voilà des mois et des mois que Frédéric Laffont photographie le conflit entre Israéliens et Palestiniens. La pierre, le char, les oliviers qu'on abat... Et pourtant, il y a des choses que ses photos ne disent pas. Ecrits au jour le jour, ses carnets de notes esquissent un autre horizon. Au plus près de ses victimes, la photographe refuse de se soumettre au pire. Il y a un temps pour la guerre et un temps pour la paix...
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◆ Bien 3.44 sur 5 405
On les appelle les Maras. Construits sur le modèle des gangs de Los Angeles, ces groupes de jeunes sèment la terreur dans toute l'Amérique Centrale. Plongée dans les banlieues de San Salvador dans le quotidien des membres d'une armée invisible. Nouveau fléau mondial qui détruit par la violence aveugle les principes démocratiques et condamne à mort une jeunesse privée de tout espoir d'avenir.
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◆ Sympa 2.50 sur 5 8
Un matin, dans les environs de Paris, des hommes et des femmes entreprennent de vider un grand local rempli de dossiers. Parmi eux, on découvre Olivier Besancenot. Lui et ses amis jettent par la fenêtre les archives accumulées depuis quarante ans par leur organisation, la LCR. En bas, dans une grande benne, s'entassent vieilles étagères, livres de philosophie marxiste et plans de campagne. La semaine suivante, les travaux commenceront pour accueillir leur rêve, un nouveau parti anti-capitaliste, large et ouvert, qui doit naître un an plus tard jour pour jour. Le film suit ces débuts pleins d'espoir, et pleins d'embûches...