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◆ Top 3.67 sur 5 5
En Mesopotamie, dans le Kurdistan, quelque part entre le Tigre et l'Euphrate, Dolovan et Zara doivent choisir entre la valise et le cercueil. Ils choisissent l'exil et, apres avoir traverse les montagnes enneigees du Caucase, se retrouvent au Palais d'hiver, la cour des miracles d'un village armenien occupee par des exiles en attente d'un depart improbable vers l'Europe.
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◆ Bien 3.16 sur 5 29
Février 1988, en pleine guerre Iran-Irak. Ako, jeune kurde, rêve de fuir le pays, alors que sa femme Selma s'y refuse tant que son père est vivant. Enrôlé de force dans l'armée de Saddam Hussein, Ako est envoyé au front. Soldat malgré lui, le jeune homme cherche en vain la " bonne blessure " pour être démobilisé. Un jour, il reçoit l'ordre de ramener la dépouille d'un martyr de guerre à sa famille. Il est accompagné dans cette mission par un chauffeur de taxi arabe. Un Kurde, un Arabe et sur le toit du taxi, le cercueil du martyr enveloppé dans un drapeau irakien. Cet étrange convoi traversent le pays du Sud au Nord, avec, au bout de la route les montagnes kurdes. Peut-être l'occasion pour Ako d'enfin fuir le pays...
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◆ Top 4.00 sur 5 1
Sur la montagne de Balliova (la vallée de miel) est gravé un drapeau de la Turquie où l'on peut lire : "Heureux celui qui se dit turc". Dans la vallée, une vache regarde ce drapeau et se meurt de chagrin. Azad est revenu au village pour voir sa fiancée. Contraint à la fuite, après avoir blessé un militaire turc, il traverse le Kurdistan irakien, puis iranien, partageant ainsi le destin d'autres Kurdes...
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◆ Sympa 2.90 sur 5 21
Sous les toits de Paris... la chanson n'est plus la même. Sous les toits de Paris aujourd'hui, il fait très chaud... Surtout quand on est très vieux, très pauvre... Dans les chambres de bonne, on s'éteint peu à peu. Mais on s'éteint aussi... encore. Surtout quand celui qui nous parle est un conteur oriental. C'est Hiner Saleem, Kurde ici, d'ailleurs et de toujours, qui promène son regard poétique, tendre et acéré sur notre Occident confortable. Chez lui, même la misère et la mort donnent l'envie de vivre.
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◆ Bien 3.00 sur 5
Créteil, un crime ritualisé fait bouillonner le SRPJ. Une femme a été découverte dans son appartement, la poitrine ouverte. Le Brigadier de police Sarah Lisbourne veut se joindre aux équipes chargées de l'enquête, son chef le Commissaire Gravier refuse. Seule à croire en la thèse du tueur en série, Sarah décide de mener sa barque seule, de manière illégitime.Très vite, Sarah fait le lien avec le mode opératoire de Victor Greuche, un autre tueur en série abattu huit ans plus tôt par un flic du nom de Luc Soubeillon.
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◆ Génial 4.50 sur 5
10 juin 1940 : l'Italie vient de déclarer la guerre à la France. À la frontière de ces deux pays, trois chasseurs alpins français, de retour de patrouille, découvrent dans le fortin où ils sont affectés, les cadavres de gradés italiens et de chasseurs alpins français qui se sont apparemment entretués. L'adjudant Leccia, militaire de carrière a sous ses ordres Albert Heller d'origine alsacienne et un jeune caporal, Paul Di Stefano, intellectuel d'origine italienne...
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◆ Bof 2.08 sur 5
Luis est un convoyeur de fonds un peu paumé. Contre toute attente, il braque son propre fourgon. Pour Emma et Sam, ses amis d'enfance et avocats, c'est l'heure des choix : défendre Luis en se remémorant les bons moments de cette jeunesse passée ou bien le laisser se démêler, seul, de cette panade dans laquelle il s'est fourré.
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◆ Bien 3.05 sur 5 588
Tiré d'un fait divers qui s'est produit il y a quelques années, "L'Appât" raconte l'histoire de deux garcons et d'une jeune fille qui assassinent froidement des hommes pour réunir dix millions afin de réaliser leur rêve : faire fortune aux Etats-Unis.
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◆ Sympa 2.64 sur 5
Durant la guerre au Kosovo, un bataillon espagnol intégré à la KFOR a pour mission de réparer un générateur électrique dans une zone frontalière avec la Serbie.
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◆ Sympa 2.80 sur 5 74
Les familles ont des habitudes difficiles à bousculer. Celle de François n’échappe pas à la règle. Autour de lui, personne n'avait prévu l'arrivée d'une femme dans sa vie. Pauline et François s'abandonnent à la promesse d’une histoire aussi belle qu’inattendue. Et ce bonheur les affranchit.
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◆ Bien 3.33 sur 5
1938, à la veille de la seconde guerre mondiale, Bénédicte Drot de Fézinzac, issue de la petite noblesse versaillaise, vient d’accoucher d’une petite fille, hors les liens du mariage…Chassée de la maison familiale, elle est obligée de se placer comme domestique. Elle trouve un emploi de gouvernante chez Antoinette et Ernest Treives, un jeune couple de la haute société parisienne. Tout dans leur mode de vie heurte Bénédicte. Ils sont juifs, ce qui horrifie la jeune catholique, pétrie de préjugés antisémites. Mais la nécessité, le sens du devoir et du travail bien fait, puis, progressivement, l’attachement qu’elle éprouve malgré elle pour sa maitresse, aident Bénédicte à surmonter son aversion première…
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◆ Bien 3.19 sur 5 34
Un vieil homme relit le journal intime d’une jeune fille juive écrit sous l’Occupation 60 ans plus tôt… Sarah Rosemblum avait 25 ans. Elle était jeune, belle, amoureuse… Il s’appelait Hans, un officier SS rebuté par l’idéologie nazie, de ceux qui méprisent leur uniforme et utilisent leur fonction pour fournir de faux papiers aux Juifs. Rebaptisée Louise Berger, Sarah vit alors sous la protection d’Huguette, une chanteuse de cabaret généreuse qui cache des Juifs et les aide à passer en Angleterre. Dans sa maison, à l’abri du monde, le couple improbable peut laisser libre cours à son idylle, éveillant sans le savoir la jalousie de Robert, un jeune pensionnaire de 16 ans qui se meurt d’amour pour Louise. Les passions se déchaînent sous l’œil de sphinx de Margot, la mère d’Huguette, mutique depuis la mort de son fils. Mais la guerre rattrape ceux qui s’aiment… Il faudra bientôt fuir, jusqu’au moment où il n’y aura plus de fuite possible. Qui est ce vieil homme qui s’est plongé dans l’histoire de Sarah…
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◆ Top 3.55 sur 5
En 1938, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, Bénédicte Drot de Fézinzac, jeune femme issue de la petite noblesse versaillaise, vient d’accoucher d’une petite fille, hors les liens du mariage… L’enfant est placée dans un orphelinat religieux, et Bénédicte, chassée de la maison familiale, est obligée de se placer comme domestique. Elle trouve un emploi de gouvernante chez Antoinette et Ernest Treives, un jeune couple de la haute société parisienne, vivant sur un grand pied, à la Plaine Monceau. Tout dans leur mode de vie heurte l’austère Bénédicte. De plus, ils sont juifs, ce qui horrifie la jeune catholique, pétrie de préjugés antisémites. Mais la nécessité, le sens du devoir et du travail bien fait, puis, progressivement, l’attachement qu’elle éprouve malgré elle pour sa jeune maîtresse, aident Bénédicte à surmonter son aversion première. Quand Antoinette donne naissance à un petit garçon en plein exode, Bénédicte se dévoue entièrement à l’enfant et à sa mère, sans toutefois jamais révéler à Antoinette le secret de ses origines, ni qu’elle est elle-même mère d’une petite fille. Quand Antoinette, au mépris de sa sécurité, quitte la zone libre pour retrouver son mari à Paris, Bénédicte la suit, laissant derrière elle un homme qui l’aime... Elle assistera impuissante à l’arrestation d’Antoinette par la milice. Elle ne reviendra jamais. Alors, Bénédicte, par fidélité envers cette jeune femme à qui pourtant tout l’opposait, décidera de consacrer sa vie à l’enfant et à la maison qu’Antoinette laisse derrière elle.
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