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Une forge dans Le Perche. Elle s'apprête à fermer. Jean-Daniel Pollet s'attache à ces gestes qui seront perdus, à ces hommes qui les répètent avec précision, amour, et désespoir. Dans la lignée de ses films-essais, il fait de Pour mémoire (la forge) un poème humaniste sur la fin d¹un monde (ouvrier) et la perte de la transmission du savoir, mais aussi une réflexion sur le travail et son sens.
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◆ Sympa 2.75 sur 5
Face a la camera, un lepreux grec, Raimondakis, raconte sa vie. Il a vecu pendant de longues annees a Spinalonga, une ile de la Crete avec d'autres lepreux, parques la pour y mourir.
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◆ Navet 1.90 sur 5
Quatre mois de periple en voiture, en compagnie de Volker Schlondorff, tout autour de la Mediterranee. Quinze pays, trente-cinq mille kilometres.
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Hommage a Francis Ponge dans un film que son auteur considere comme "naturel".
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La vie quotidienne sur un bateau de morutiers.
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◆ Top 3.58 sur 5 6
Il habite le monde comme sa maison : immobile. Un grave accident l'a cloué là, en ce point du monde : une maison au milieu d'un grand jardin. Il ne peut plus parcourir le monde : il le contemple jour après jour depuis sa maison. Il est cinéaste. Il n'a vécu que pour faire des films. Toujours un de plus : envers et contre toutes les circonstances. Il imagine faire un film avec toutes ses images fixes, se ranimant par conjonction, juxtaposition, succession. Il en isolerait, dans le lot innombrable, ce qu'il en faut pour voir une année s'écouler, quatre saisons, jour après jour. Jour après jour serait le titre. Le programme. Le seul scénario. Une année s'y écoulera. Une toute petite année parmi les milliards d'années du monde. Une vie s'y imprimera. Une petite vie parmi les milliards de vies du monde.