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◆ Top 4.00 sur 5 7
Vincent a quarante ans. Hanté par la figure de Schubert, cet homosexuel cultivé et fragile s'embarque avec son filleul Itvan pour un ultime et beau voyage : son voyage d'hiver. L'homme et l'adolescent traversent une Allemagne enneigée, battue par les vents et peuplée de fantômes. Entre blessures du passé et vastes chantiers de la réunification, l'homme tente de changer le regard d'Itvan sur ces villes, ces paysages, invoquant tour à tour l'histoire, la poésie et la musique. Au fil de ce parcours initiatique, fragmentaire et glacé, porté par les mélodies romantiques allemandes, l'homme voyage aussi à travers sa propre histoire...
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◆ Navet 1.92 sur 5 6
Un cinéaste tente de se plonger, lui et son équipe, dans l'univers incandescent de Port-Royal et du Jansénisme, esquissant par fragments un autre Grand Siècle, étrangement familier, celui de Pascal, de Racine et des "Amis de la Vérité". Paysages arpentés, lectures précieuses, entretiens et notes de travail s'entrecroisent, mais la quête historique tourne peu à peu au vertige. Et d'envolées baroques en convulsions hystèriques, c'est tout le film qui bascule, butant irrémédiablement sur la question sans réponse de la grâce.
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◆ Bof 2.40 sur 5 5
Je suis enfin à Buenos Aires, pour un séminaire sur le cinéma. Ivre de joie, je découvre la ville que m’avaient tant décrite les grands frères argentins, du temps des Grandes Manoeuvres et du Palace. Mais la ville est aussi devenue un laboratoire où s’expérimentent toutes les révolutions, de la libération sexuelle à celle de l’art. J’essaie d’être à la hauteur de ce changement à vue du monde qui éclate sous mes yeux. Je me noie, j’abandonne, pour nous, ceux d’ « après la révolution », c’est sans doute déjà trop tard…
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◆ Navet 1.00 sur 5 3
Leçons de ténèbres reconstitue par fragments un voyage fatal placé à l'ombre de l'oeuvre sensuelle du peintre italien le Caravage. A Utrecht, Naples et Rome, deux histoires d'amour guident l'itinéraire nocturne d'un homosexuel en mal de beauté. A la fois journal intime et documentaire baroque, Leçons de ténèbres de Vincent Dieutre ( Rome désolée ) est un film esthétique sur l'amour et l'amour de l'art.
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◆ Navet 0.50 sur 5
Espece de journal intime sans chronologie et sans etats d'ame de la vie d'un jeune homosexuel dans la Rome des annees quatre-vingt.
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◆ sur 5
Des réalisateurs et des professionnels du cinéma revisitent les questions d'identité de genre à travers des témoignages. Comment décrypter les messages codés face aux représentations homosexuelles ? Que cachent les amitiés viriles ? Que cachent les personnages androgynes ? Adapté du livre d'Alain Brassart, ce documentaire donne les clés pour comprendre les empreintes de l'homosexualité dans l'histoire du cinéma.
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◆ sur 5
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◆ sur 5
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◆ sur 5
Le réalisateur retourne à Bologne où il séjourna vingt ans plus tôt. Entre l'Italie des "années de plomb" et celle de Berlusconi se tissent les liens d'une mémoire fragmentaire, lacunaire et tragique.