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◆ Bof 2.40 sur 5 5
Je suis enfin à Buenos Aires, pour un séminaire sur le cinéma. Ivre de joie, je découvre la ville que m’avaient tant décrite les grands frères argentins, du temps des Grandes Manoeuvres et du Palace. Mais la ville est aussi devenue un laboratoire où s’expérimentent toutes les révolutions, de la libération sexuelle à celle de l’art. J’essaie d’être à la hauteur de ce changement à vue du monde qui éclate sous mes yeux. Je me noie, j’abandonne, pour nous, ceux d’ « après la révolution », c’est sans doute déjà trop tard…
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◆ sur 5
Le réalisateur retourne à Bologne où il séjourna vingt ans plus tôt. Entre l'Italie des "années de plomb" et celle de Berlusconi se tissent les liens d'une mémoire fragmentaire, lacunaire et tragique.
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◆ sur 5
Des réalisateurs et des professionnels du cinéma revisitent les questions d'identité de genre à travers des témoignages. Comment décrypter les messages codés face aux représentations homosexuelles ? Que cachent les amitiés viriles ? Que cachent les personnages androgynes ? Adapté du livre d'Alain Brassart, ce documentaire donne les clés pour comprendre les empreintes de l'homosexualité dans l'histoire du cinéma.
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◆ sur 5
La mine a plusieurs voix.
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◆ Génial 4.50 sur 5 2
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, s'ouvre à Nüremberg le procès des dirigeants nazis. Il préfigure l'avènement de la justice pénal international. Depuis novembre 1994, à Arusha (capitale de la Tanzanie), le Tribunal Pénal International pour le Rwanda (TPIR) est chargé par les Nations Unies de juger les responsables du génocide rwandais. Devant une communauté internationale aphone, celui-ci fît quelque mois plus tôt, d'avril à juin 1994, près d'un million de victimes, principalement Tutsis. Comment la justice internationale s'exerce-t-elle au delà de ses fondements politiques? Qu'est-ce que juger à l'aune d'une conscience universelle? S'appuyant sur les propres archives du Tribunal Pénal International pour le Rwanda, le film D'Arusha à Arusha met en scène le fonctionnement d'une diplomatie judiciaire.
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◆ sur 5
Trois villes portuaires de la Méditerranée : la question du bilinguisme à Barcelone, le droit des étrangers à travers l'existence d'un centre de rétention invisible à Marseille, les travaux récents d'urbanisme à Gênes. Autant de manières d'interroger la frontière entre deux langues, deux pays, entre le centre et la périphérie.
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◆ Top 3.71 sur 5 28
Quatre mois dans les locaux de Pascal Bataille, Laurent Fontaine et leur équipe, les producteurs animateurs de l'émission phare "Y'a que la vérité qui compte ", où des "anonymes", chaque semaine sur TF1 devant 4 millions de téléspectateurs, viennent tenter de résoudre un problème lié à leur vie privée. Chronique de la fabrication d'une émission où l'on voit les impératifs d'audience se marier à la réalité d'anonymes volontaires en détresse ou bien juste curieux de passer à l'antenne. Un film qui tente de montrer sans a priori, depuis les coulisses, la fabrication d'une télévision populaire. Voyage à l'intérieur du "temps de cerveau disponible".
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◆ Top 3.88 sur 5 4
L'histoire d'une rencontre et d'une écoute. L'histoire du récit d'un soldat en train de faire une guerre qu'il croit juste. La réalisatrice Penny Allen croise la route du Sergent R. dans l'avion qui l'emmène de Paris aux Etats-Unis. Le Sergent R. revient d'Irak et livre ses mots encore chauds des tirs de roquette. Il montre aussi des images que Penny refuse de voir. Ils se quittent au pied de l'avion, mais après quelques temps Penny Allen décide de revoir le Sergent R pour recueillir sa parole.
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◆ Top 4.13 sur 5 12
Gerboise Bleue raconte l'histoire des vétérans français et des Touaregs algériens victimes des premiers essais atomiques français dans le Sahara de 1960 à 1966. Pour la première fois, les derniers survivants témoignent de leurs combats pour la reconnaissance de leurs maladies, et révèlent dans quelles conditions les tirs se sont véritablement déroulés.
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◆ Top 4.10 sur 5 52
La Palestine ressemble de plus en plus à une métaphore au moment où Samir Abdallah et Khéridine Mabrouk pénètrent dans Gaza, le 20 Janvier 2009. Au lendemain de la dernière guerre israélienne contre Gaza, ils y découvrent l’étendue de la « Gaza-Strophe » aux côtés de leurs amis, délégués palestiniens des Droits de l'Homme. Les récits de dizaines de témoins font prendre la mesure du cauchemar palestinien. Mais au-delà de leurs souffrances, les Gazaoui « portent toujours le fardeau de l’espoir » qu’ils font vivre à travers poèmes, chants et nokta (blagues ou histoires à raconter)…
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◆ Top 4.21 sur 5 7
Roshane Saidnattar, rescapée des camps de la mort au Cambodge, rencontre le théoricien du pouvoir Khmer Rouge, Khieu Samphân. Face au déni et à la parole mensongère de ce théoricien de Pol Pot, la réalisatrice et sa mère retournent au Cambodge et trouvent la force de parler. L'Important c'est de rester vivant entremêle les souvenirs de la réalisatrice, le témoignage de sa mère ainsi que des archives inédites, le tout mis en parallèle avec l'entretien exceptionnel avec Khieu Samphân. Ce film porte un regard qui, par sa résonance intime, nous dévoile une part de la folie qui a dévasté un peuple entier.
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◆ Bien 3.25 sur 5 2
C’est un voyage peu commun auquel nous sommes conviés : suivre durant plus d’un an le cheminement d’une élue, Françoise Verchère, Maire et Vice Présidente du Conseil Général de la Loire Atlantique chargée de l’environnement. Entre les réunions kafkaïennes avec des technocrates, une occupation anti-OGM ou un débat houleux sur un parc éolien, dans un rapport singulier avec le réalisateur, l’élue livre ses réflexions, évoque ses désirs comme ses déboires. Françoise Verchère s’interroge sur la place qu’elle occupe au sein d’institutions où le dos rond semble coutumier pour faire carrière. Avec un humour peu commun, elle dépeint un monde où l’adversité politique est quasi permanente. Derrière le beau sourire de cette femme qui dérange, on sent parfois une solitude.
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◆ Top 3.83 sur 5 18
En France, depuis la loi Sarkozy de 2003 sur le racolage passif, des femmes et des hommes revendiquent le droit de pouvoir louer librement leur corps alors même que l'économie du marché utilise une pseudo libération sexuelle pour justifier la légalisation de la marchandisation de l'intime. Paroles et pratiques dérangeantes, stigmatisées par des jugements moralisateurs, qui nous questionnent sur les rapports hommes / femmes, la sexualité et son contrôle par le pouvoir.
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