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En 1973, pendant la guerre de Kippour, un hélicoptère transportant une unité de secouristes israéliens était abattu au-dessus du Golan. Gitai figurait parmi les sept hommes à bord. Vingt ans après, il retrouve les membres de l'équipage et retourne sur les lieux, voyageant vers la mémoire d'un traumatisme et les traces qu'il a laissées chez les survivants.
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◆ Bien 3.17 sur 5
L'histoire d'une maison a Jerusalem, abandonnee par son proprietaire en 1948, requisitionnee par le gouvernement israelien, en vertu de la loi sur les absents, louee a des juifs d'Algerie, vendue a un professeur d'universite qui entreprend de la renover.
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Wupper, ville des usines Bayer ou se fabriquait le gaz Zyklon B: le 13 novembre 1992, deux skinheads ont immole par le feu un homme qu'ils croyaient juif.
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Apres l'assassinat d'Itzhak Rabin, Amos Gitai entreprend un voyage a travers son pays, a la recherche des traces de cet evenement.
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C'est l'histoire du premier congrès sioniste à Bâle et de la première fois que Theodore Harzel a suggéré la formation d'un Etat juif. C'est aussi l'histoire de la mère d'Amos Gitaï, née à Haifa en 1909 et de son père Munio Wenraub, qui a quitté Berlin en 1993 en passant par Bâle. C'est l'histoire d'un voyage de Bâle à Jérusalem, de Vienne à Haifa, de 1897 à nos jours.
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Un parallete enre ceux qui vendent leur force de travail et celles qui sont vendues comme objet de plaisir.
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Wadi est une vallee situee a l'est de Haifa, en Israel. En 1980, Amos Gitai y avait filme la vie de trois familles immigrantes, et revient faire le point dix ans plus tard.
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◆ Navet 1.00 sur 5
Comment la violence contre les Palestiniens est legitimee contre leurs biens et contre leur existence comme peuple.
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◆ Navet 1.50 sur 5
Dix-huit ans après "House", Amos Gitai retourne sur les lieux de son premier film. Il y observe les changements chez les nouveaux habitants et dans le voisinage.
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La culture des oranges, un prisme qui permet d'observer le tissu des relations socio-économiques entre Israéliens et Palestiniens.
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Dans le train qui les emmène au festival de Vesoul, les cinéastes Amos Gitai et Elia Suleiman discutent à bâtons rompus des sujets qui les préoccupent : la guerre et la paix au Proche-Orient, leurs projets de films, leurs villes et leur vie privée... A Vesoul, l'accueil des Français est plutôt cocasse et la question de la guerre et de la paix au Proche Orient ne soulève que des malentendus : par une sorte d'exotisme inversé, on finit par se demander qui est " l'étranger " dans l'histoire.
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Captation de son spectacle présenté au Festival d'Avignon, La guerre des fils de lumière contre les fils des ténèbres d'Amos Gitaï est adapté de la chronique La guerre des Juifs de l'historien Flavius Josèphe (Ier siècle après JC). Ce document raconte comment l'état hébreu a perdu sa souveraineté à l'issue d'une guerre contre les Romains dont les étapes les plus marquantes sont la prise de Jérusalem, la destruction du Temple et la chute de Massada. Dans cette mise en scène au coeur de la carrière Boulbon, lieu minéral magique au sud d'Avignon, Jeanne Moreau est assise à une table et endosse le rôle de l'auteur. Elle est entourée de comédiens qui incarnent les personnages du livre dans cette réflexion poétique et politique sur le Proche-Orient contemporain. Pour Amos Gitaï, le texte de Flavius Josèphe "fait partie de ses fantômes" et il lui semblait important de le faire entendre à nouveau aujourd'hui.
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25 ans après "House" (1980) et 7 ans après "Une maison à Jérusalem" (1998), Amos Gitai revisite la maison et son voisinage. Regards sur son pays au travers des personnages israéliens et palestiniens qui traversent le temps, au milieu du tumulte du Moyen-Orient, autour de ce lieu unique. Regards sur les différentes transformations au fil de ces dernières 25 années, de cette métaphore qu'est la maison et des personnages qui s'y rattachent.
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