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Un parallete enre ceux qui vendent leur force de travail et celles qui sont vendues comme objet de plaisir.
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La ville de Sao Paulo vue à travers le regard de treize cinéastes.
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Captation de son spectacle présenté au Festival d'Avignon, La guerre des fils de lumière contre les fils des ténèbres d'Amos Gitaï est adapté de la chronique La guerre des Juifs de l'historien Flavius Josèphe (Ier siècle après JC). Ce document raconte comment l'état hébreu a perdu sa souveraineté à l'issue d'une guerre contre les Romains dont les étapes les plus marquantes sont la prise de Jérusalem, la destruction du Temple et la chute de Massada. Dans cette mise en scène au coeur de la carrière Boulbon, lieu minéral magique au sud d'Avignon, Jeanne Moreau est assise à une table et endosse le rôle de l'auteur. Elle est entourée de comédiens qui incarnent les personnages du livre dans cette réflexion poétique et politique sur le Proche-Orient contemporain. Pour Amos Gitaï, le texte de Flavius Josèphe "fait partie de ses fantômes" et il lui semblait important de le faire entendre à nouveau aujourd'hui.
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En 1973, pendant la guerre de Kippour, un hélicoptère transportant une unité de secouristes israéliens était abattu au-dessus du Golan. Gitai figurait parmi les sept hommes à bord. Vingt ans après, il retrouve les membres de l'équipage et retourne sur les lieux, voyageant vers la mémoire d'un traumatisme et les traces qu'il a laissées chez les survivants.
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Dans le train qui les emmène au festival de Vesoul, les cinéastes Amos Gitai et Elia Suleiman discutent à bâtons rompus des sujets qui les préoccupent : la guerre et la paix au Proche-Orient, leurs projets de films, leurs villes et leur vie privée... A Vesoul, l'accueil des Français est plutôt cocasse et la question de la guerre et de la paix au Proche Orient ne soulève que des malentendus : par une sorte d'exotisme inversé, on finit par se demander qui est " l'étranger " dans l'histoire.
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La culture des oranges, un prisme qui permet d'observer le tissu des relations socio-économiques entre Israéliens et Palestiniens.
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Les notions de style et d'images dans les années 70 : de l'architecture post-moderne à Jane Fonda et Berkeley, des ghettos noirs aux mouvements anti-nucléaires, à la mode punk et aux svastikas empruntés à Hollywood...
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Dès que l'on s'intéresse aux relations tumultueuses entre les artistes et les critiques, les anecdotes ne tarissent pas. Il est rare qu'un artiste ne se souvienne pas précisément d'une petite phrase meurtrière qui l'aura marqué à vie. De leur côté, les critiques ont parfois à affronter des situations délicates, sinon périlleuses. Mais une critique peut être bonne aussi, elle peut changer la vie d'un artiste, provoquant le sentiment d'avoir été compris, aimé, pénétré, proche d'un transfert psychanalytique. Curieusement, la relation entre un créateur et un critique, bien que nécessairement publique, est toujours intime. Bref, il y a de la passion dans l'air.
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25 ans après "House" (1980) et 7 ans après "Une maison à Jérusalem" (1998), Amos Gitai revisite la maison et son voisinage. Regards sur son pays au travers des personnages israéliens et palestiniens qui traversent le temps, au milieu du tumulte du Moyen-Orient, autour de ce lieu unique. Regards sur les différentes transformations au fil de ces dernières 25 années, de cette métaphore qu'est la maison et des personnages qui s'y rattachent.
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Wupper, ville des usines Bayer ou se fabriquait le gaz Zyklon B: le 13 novembre 1992, deux skinheads ont immole par le feu un homme qu'ils croyaient juif.
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Wadi est une vallee situee a l'est de Haifa, en Israel. En 1980, Amos Gitai y avait filme la vie de trois familles immigrantes, et revient faire le point dix ans plus tard.
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