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Dans le train qui les emmène au festival de Vesoul, les cinéastes Amos Gitai et Elia Suleiman discutent à bâtons rompus des sujets qui les préoccupent : la guerre et la paix au Proche-Orient, leurs projets de films, leurs villes et leur vie privée... A Vesoul, l'accueil des Français est plutôt cocasse et la question de la guerre et de la paix au Proche Orient ne soulève que des malentendus : par une sorte d'exotisme inversé, on finit par se demander qui est " l'étranger " dans l'histoire.
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◆ Sympa 2.78 sur 5 9
Dès que l'on s'intéresse aux relations tumultueuses entre les artistes et les critiques, les anecdotes ne tarissent pas. Il est rare qu'un artiste ne se souvienne pas précisément d'une petite phrase meurtrière qui l'aura marqué à vie. De leur côté, les critiques ont parfois à affronter des situations délicates, sinon périlleuses. Mais une critique peut être bonne aussi, elle peut changer la vie d'un artiste, provoquant le sentiment d'avoir été compris, aimé, pénétré, proche d'un transfert psychanalytique. Curieusement, la relation entre un créateur et un critique, bien que nécessairement publique, est toujours intime. Bref, il y a de la passion dans l'air.
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◆ Navet 1.50 sur 5
Dix-huit ans après "House", Amos Gitai retourne sur les lieux de son premier film. Il y observe les changements chez les nouveaux habitants et dans le voisinage.
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◆ Top 3.79 sur 5 7
25 ans après "House" (1980) et 7 ans après "Une maison à Jérusalem" (1998), Amos Gitai revisite la maison et son voisinage. Regards sur son pays au travers des personnages israéliens et palestiniens qui traversent le temps, au milieu du tumulte du Moyen-Orient, autour de ce lieu unique. Regards sur les différentes transformations au fil de ces dernières 25 années, de cette métaphore qu'est la maison et des personnages qui s'y rattachent.
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◆ Bien 3.17 sur 5
L'histoire d'une maison a Jerusalem, abandonnee par son proprietaire en 1948, requisitionnee par le gouvernement israelien, en vertu de la loi sur les absents, louee a des juifs d'Algerie, vendue a un professeur d'universite qui entreprend de la renover.
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◆ sur 5
Wupper, ville des usines Bayer ou se fabriquait le gaz Zyklon B: le 13 novembre 1992, deux skinheads ont immole par le feu un homme qu'ils croyaient juif.
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◆ sur 5
Apres l'assassinat d'Itzhak Rabin, Amos Gitai entreprend un voyage a travers son pays, a la recherche des traces de cet evenement.
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◆ sur 5
C'est l'histoire du premier congrès sioniste à Bâle et de la première fois que Theodore Harzel a suggéré la formation d'un Etat juif. C'est aussi l'histoire de la mère d'Amos Gitaï, née à Haifa en 1909 et de son père Munio Wenraub, qui a quitté Berlin en 1993 en passant par Bâle. C'est l'histoire d'un voyage de Bâle à Jérusalem, de Vienne à Haifa, de 1897 à nos jours.
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◆ sur 5
Un parallete enre ceux qui vendent leur force de travail et celles qui sont vendues comme objet de plaisir.
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◆ sur 5
Wadi est une vallee situee a l'est de Haifa, en Israel. En 1980, Amos Gitai y avait filme la vie de trois familles immigrantes, et revient faire le point dix ans plus tard.
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◆ Navet 1.00 sur 5
Comment la violence contre les Palestiniens est legitimee contre leurs biens et contre leur existence comme peuple.
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◆ sur 5
En 1973, pendant la guerre de Kippour, un hélicoptère transportant une unité de secouristes israéliens était abattu au-dessus du Golan. Gitai figurait parmi les sept hommes à bord. Vingt ans après, il retrouve les membres de l'équipage et retourne sur les lieux, voyageant vers la mémoire d'un traumatisme et les traces qu'il a laissées chez les survivants.
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◆ sur 5
La culture des oranges, un prisme qui permet d'observer le tissu des relations socio-économiques entre Israéliens et Palestiniens.
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