1. Navet 1.75 sur 5

    Toute révolution est un coup de dés

    D'apres le poeme de Stephane Mallarme: "Un coup de de jamais n'abolira le hasard".
  2. Similaires Mieux notés Populaires Derniers Bande-Annonce
  3. Bien 3.33 sur 5

    Introduction a la musique d'accompagnement pour une scene du film d'Arnold Schoenberg

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    Le Fiance, la comedienne et le maquereau

  5. Top 3.67 sur 5

    Machorka-Muff

    D'apres une nouvelle de Heinrich Boll traduite en francais sous le titre "Jouranl du general Erich von Teuf-Teuzin dans la capitale federale" in "Loin de la Troupe".
  6. Top 3.94 sur 5

    En rachâchant

    Un petit garcon tetu et serieux comme un pape realise le reve de tous les enfants en age d'aller a l'ecole primaire: celui de dire une bonne fois pour toutes "merde au professeur" et a ce qu'il represente. Adapte d'un conte de Marguerite Duras.
  7. Sympa 2.70 sur 5

    Lothringen!

    L’histoire d'une jeune fille de Metz.
  8. Sympa 2.50 sur 5

    Europa 2005

  9. sur 5

    Operai contadini

  10. sur 5

    Un Coup de des

    00h11 Jean-Marie Straub Divers
  11. Bof 2.07 sur 5 7
    Le Genou d'Artémide : Affiche

    Le Genou d'Artémide

    April 2009 2009-04-08 00h26 Jean-Marie Straub Andrea BacciDario Marconcini Divers
    Adaptation de "La Bête sauvage" de Cesare Pavese.
  12. Bof 2.00 sur 5 1
    L'Inconsolable (programme de 4 courts-métrages) : Affiche

    L'Inconsolable (programme de 4 courts-métrages)

    February 2012 2012-02-08 01h07 Jean-Marie Straub Giovanna Daddi Divers
    Quatre films, trois écrivains. Maurice Barrès, Cesare Pavese, Franz Kafka. Un nationaliste français, un communiste italien, un Juif tchèque de langue allemande. Les rassembler aujourd’hui, c’est affirmer qu’au-delà de ces identités réductrices, ces trois hommes, chacun dans son ton et à sa manière, ont vécu et médité l’histoire de l’Europe moderne - ses aspirations, ses origines, sa catastrophe. Faire des films à partir de leurs écrits, c’est poser aujourd’hui, entre autres questions, celle de l’identité. Question urgente, qu’on aurait tort de refouler, quand d’autres la brandissent comme un slogan au service de politiques policières et xénophobes. Ces quatre films parlent de conflits et de blessures. Blessures et conflits qui font les hommes et les peuples. Qui ne fondent aucune identité figée, mais au contraire ne cessent de l’inquiéter, d’y substituer un questionnement de la provenance et de la destination. "Lothringen !", "Un héritier", "Schakale und Araber" : on ne comprend rien aux peuples et aux territoires, ici et ailleurs, si on oublie les conflits qui ont scandé leur histoire, qui déterminent leurs rapports. L’Inconsolable : on ne sait pas ce qu’est un homme, un homme ne sait pas qui il est tant qu’il n’a pas trouvé sa blessure, qu’il n’est pas descendu dans son obscurité intérieure. Le cinéma est lumière, celui de Jean-Marie Straub plus que tout autre. Mais une lumière qui se souvient de l’ombre - qui vient de l’ombre, par-dessous. Les rayons du soleil, à la fin de "L’Inconsolable", touchent le front d’un homme qui revient de loin - du cœur des ténèbres. Voici quatre courts-métrages de Jean-Marie Straub réunis.
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    Une villa aux environs de New York (TV)

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    Aussi loin que mon enfance

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