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◆ Bien 3.00 sur 5 20
A travers ses rencontres avec divers interlocuteurs, Jean-Luc Godard développe la réflexion sur l'Histoire, la politique, le cinéma, l'image et le temps, qui le conduira à s'exposer comme artiste au Centre Pompidou. Les échanges avec Dominique Païni, Jean Narboni, André S.Labarthe, Jean-Marie Straub, Danielle Huillet et Christophe Kantcheff ont été filmé chez Jean-Luc Godard à Rolle, dans son studio de travail, puis au Fresnoy (face aux étudiants) et au Centre Pompidou dans les espaces de l'exposition. La matière et les enjeux sont ceux que Jean-Luc Godard avait envisagé de présenter sous forme de cours au Collège de France.
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◆ Top 3.94 sur 5 17
Les cinq derniers Dialogues avec Leucò de Cesare Pavese.
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◆ Bof 2.25 sur 5 10
Une promenade dans les allées du Louvre avec en guise de commentaires des phrases du peintre Cézanne.
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◆ Sympa 2.71 sur 5 7
"On arrive à l'île Coton, là où j'ai passé mon jeune âge. On va voir la cabane pour se mettre à I'abri quand il tombe vraiment de l'eau... C'est là-dedans que je me suis fait bouffer le doigt par les rats. Alors ils m'avaient bouffé le doigt pendant que j'étais à dormir. Ca, ce sont les lapins. Ils se sont mis là, ils étaient cachés pendant la crue. Quand ils sont pris par l'eau, ils montent dans les têtes d'arbres ou les haies. On a enlevé ceux qui étaient en perdition. On en a récupéré une centaine. On les a remis dès que l'eau était partie. Ca c'était l'île de mon enfance."
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◆ Bof 2.07 sur 5 7
Adaptation de "La Bête sauvage" de Cesare Pavese.
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◆ Sympa 2.50 sur 5 4
D'après Le Streghe (Les Sorcières). Le premier des Dialogues avec Leucò écrit par l'auteur Cesare Pavese.
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◆ Navet 1.00 sur 5 4
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, en Italie, des hommes et des femmes de tous âges sont réunis au hasard de leurs pérégrinations. Ils constituent une communauté primitive qui tente d'effacer la douleur issue de la guerre et de se protéger de la violence et de la misère. Toutes origines sociales et géographiques confondues, ils construisent au milieu des ruines et inventent, dans cet après-guerre, de nouveaux rapports dans le travail et la vie quotidienne. Une sorte de journal est tenu à jour.
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◆ Bof 2.38 sur 5 4
Au moment du montage de la troisième version de Sicilia ! par Jean-Marie Straub et Danièle Huillet, Pedro Costa tourne une "comédie de remontage". Derrière leur patience à l'oeuvre, tendre et violente, les deux cinéastes dévoilent une certaine idée de leur cinéma et de leur couple.
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◆ Top 3.50 sur 5 3
Dans l'Italie libérée, des rescapés de la guerre, qui ont tout perdu durant ces années de combat, s'établissent dans un village en ruines. Ils envisagent de restaurer ces décombres et de refaire leur vie, imitant ainsi les femmes de Messine qui ont reconstruit leur ville anéantie par un tremblement de terre.
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◆ Sympa 2.50 sur 5 3
Le dernier chant du "Paradis" de la Divine Comédie de Dante. Le film est précédé de Corneille-Brecht ou Rome l'unique objet de mon ressentiment, extraits d'Horace et d'Othon de Corneille et de das Verhoer des Lukulus, pièce radiophonique de Brecht.
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◆ Navet 1.50 sur 5 2
Evocation d'après le poète Holderlin de la vie du Grec Empedocle qui se jeta dans l'Etna. Le volcan renvoya aux vivants une des sandales du philosophe.
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◆ Bof 2.00 sur 5 1
Quatre films, trois écrivains. Maurice Barrès, Cesare Pavese, Franz Kafka. Un nationaliste français, un communiste italien, un Juif tchèque de langue allemande. Les rassembler aujourd’hui, c’est affirmer qu’au-delà de ces identités réductrices, ces trois hommes, chacun dans son ton et à sa manière, ont vécu et médité l’histoire de l’Europe moderne - ses aspirations, ses origines, sa catastrophe. Faire des films à partir de leurs écrits, c’est poser aujourd’hui, entre autres questions, celle de l’identité. Question urgente, qu’on aurait tort de refouler, quand d’autres la brandissent comme un slogan au service de politiques policières et xénophobes. Ces quatre films parlent de conflits et de blessures. Blessures et conflits qui font les hommes et les peuples. Qui ne fondent aucune identité figée, mais au contraire ne cessent de l’inquiéter, d’y substituer un questionnement de la provenance et de la destination. "Lothringen !", "Un héritier", "Schakale und Araber" : on ne comprend rien aux peuples et aux territoires, ici et ailleurs, si on oublie les conflits qui ont scandé leur histoire, qui déterminent leurs rapports. L’Inconsolable : on ne sait pas ce qu’est un homme, un homme ne sait pas qui il est tant qu’il n’a pas trouvé sa blessure, qu’il n’est pas descendu dans son obscurité intérieure. Le cinéma est lumière, celui de Jean-Marie Straub plus que tout autre. Mais une lumière qui se souvient de l’ombre - qui vient de l’ombre, par-dessous. Les rayons du soleil, à la fin de "L’Inconsolable", touchent le front d’un homme qui revient de loin - du cœur des ténèbres. Voici quatre courts-métrages de Jean-Marie Straub réunis.
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