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◆ Bien 3.22 sur 5 999
Delphine et Solange sont deux jumelles de 25 ans, ravissantes et spirituelles. Delphine, la blonde, donne des leçons de danse et Solange, la rousse, des cours de solfège. Elle vivent dans la musique comme d'autres vivent dans la lune et rêvent de rencontrer le grand amour au coin de la rue. Justement des forains arrivent en ville et fréquentent le bar que tient la mère des jumelles. Une grande foire se prépare et un marin rêveur cherche son idéal féminin...
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◆ Top 3.75 sur 5 400
En revenant sur les plages qui ont marqué sa vie, Varda invente une forme d'autodocumentaire. Agnès se met en scène au milieu d'extraits de ses films, d'images et de reportages. Elle nous fait partager avec humour et émotion ses débuts de photographe de théâtre puis de cinéaste novatrice dans les années cinquante, sa vie avec Jacques Demy, son engagement féministe, ses voyages à Cuba, en Chine et aux USA, son parcours de productrice indépendante, sa vie de famille et son amour des plages. Une femme libre et curieuse !
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◆ Top 3.84 sur 5 187
Cléo, belle et chanteuse, attend les résultats d'une analyse médicale. De la superstition à la peur, de la rue de Rivoli au Café de Dôme, de la coquetterie à l'angoisse, de chez elle au Parc Montsouris, Cléo vit quatre-vingt-dix minutes particulières. Son amant, son musicien, une amie puis un soldat lui ouvrent les yeux sur le monde.
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◆ Top 3.63 sur 5 120
Une jeune fille errante est trouvée morte de froid : c'est un fait d'hiver. Etait-ce une mort naturelle ? C'est une question de gendarme ou de sociologue. Que pouvait-on savoir d'elle et comment ont réagi ceux qui ont croisé sa route ? C'est le sujet du film. Peut-on faire le portrait d'une fille difficile à saisir et dont toute l'attitude est refus. La caméra s'attache à Mona, racontant les deux derniers mois de son errance. Elle traîne. Installe sa tente près d'un garage ou d'un cimetière. Elle marche, surtout jusqu'au bout de ses forces.
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◆ Navet 1.85 sur 5 17
Monsieur Cinéma est presque centenaire. Ex-acteur, producteur et réalisateur, il croit être le cinéma à lui tout seul et vit dans un château-musée avec son majordome, Firmin. Il perd la boule et embrouille tout. Il engage alors une jeune cinéphile pour faire faire de l'aérobic à sa mémoire qui flanche. De nombreux visiteurs, des stars et un groupe de jeunes animent sa vieillesse confuse et heureuse.Les jeunes voudraient sa fortune pour " faire du cinéma ".
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◆ Sympa 2.55 sur 5 10
Sept façons différentes de filmer les armées nord-vietnamiennes.
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◆ Bien 3.38 sur 5 8
"Après avoir fait un film de fiction sur l'enfance de Jacques (JACQUOT DE NANTES), mon intention a été de faire un documentaire – relativement objectif – sur Jacques Demy, adulte et cinéaste. J'ai recueilli des témoignages et suscité des réactions. J'ai moi-même apporté des souvenirs et des documents sur lui mais j'ai souvent passé le relais à ses amis, à ses proches, aux acteurs et actrices qui ont travaillé avec lui, à des " fans " et à trois demoiselles qui ne l'ont pas connu mais qui circulent naturellement dans son univers." Agnès Varda
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◆ Bien 3.00 sur 5 5
December 2002 2002-12-18 01h04 Agnès Varda Documentaire
Deux ans après , c'est ce qui est arrivé après la sortie du film Les Glaneurs et la glaneuse : ce que sont devenus ceux rencontrés et filmés en 2000 ; les effets du film ; les courriers reçus par Agnès Varda et comment elle a réagi ; les nouvelles rencontres dont les glaneurs originaux.
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◆ Navet 1.50 sur 5 2
19 intervenants de différents pays, affectés de troubles de la vue à des degrés divers, témoignent de la manière dont ils voient, dont ils se voient, dont ils voient les autres et dont ils voient le monde.
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◆ Top 3.50 sur 5 2
Ce film raconte une double histoire : la vie d'un couple et la naissance d'un roman. Edgar et Milène vivent comme des reclus, ils ne peuvent pas dialoguer, mais ils s'aiment, et leur amour va donner la vie à un enfant. Quant au roman d'Edgar, il naît de rien, à première vue, car Edgar se promène seul dans l'île de Noirmoutier. Au hasard de ses promenades, il rencontre des personnages quotidiens, qui deviennent, transformés ou imaginés, les " créatures " de son roman, les pions d'un jeu de l'échec qu'il invente. Les " créatures " prennent vie au cours d'une partie serrée dans laquelle Edgar défend non seulement ses convictions, mais aussi son amour.
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◆ Top 4.00 sur 5 1
A Los Angeles, une Française, Emilie, séparée de l'homme qu'elle aime, cherche un logement pour elle et son fils de 8 ans, Martin. Elle en trouve un, y installe des meubles récupérés dans les déchets jetés à la rue. Son désarroi est plus exprimé par les autres qu'elle observe que par elle-même, vivant silencieusement un exil démultiplié. Elle tape à la machine face à l'océan. Quelques flashes de sa passion passée la troublent et elle consacre à son fils toute son affection.
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◆ sur 5
Documentaire sur les " murals " de Los Angeles, c'est-à-dire les peintures sur des murs de la ville. Qui les peint. Qui les paye. Qui les regarde. Comment cette ville, qui est la capitale du cinéma, se révèle sans trucage - avec ses habitants par ses murs murmurants. Les murs californiens parlent à une française qui les découvre.
- Les autres films
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◆ Bien 3.27 sur 5
Deux jeunes filles vivent à Paris en 1962. Pauline (17 ans), étudiante, rêve de quitter sa famille pour devenir chanteuse. Suzanne (22 ans) s'occupe de ses deux enfants et fait face aux drames du suicide de leur père. La vie les sépare ; chacune vit son combat de femme. Pauline est devenue chanteuse dans un groupe militant et itinérant après avoir vécu une union difficile en Iran. Suzanne est sortie de sa misère et travaille au Planning familial. Dix ans plus tard, elles se retrouvent au cours d'une manifestation féministe. A la fin de cette chronique, on les retrouve ensemble, à nouveau, avec leurs enfants qui ont grandi.
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◆ Bien 3.13 sur 5
A la question " Qu'est ce qu'une femme ? " posée par une chaîne de télévision, quelques femmes cinéastes ont répondu, dont Agnès. Son court-métrage a un sous-titre " Notre corps, notre sexe ". A l'écran, une femme enceinte et nue, dansant et riant à pleine gorge, a suscité des réclamations écrites à Antenne 2. D'autres disent le désir, ou pas, d'avoir des enfants.
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◆ Top 3.94 sur 5
A Rochefort, en 1966, Jacques Demy a tourné "Les Demoiselles de Rochefort", avec les soeurs Deneuve-Dorléac. En 1992, la Ville a fait une grande fête pour célébrer les 25 ans des Demoiselles. En mêlant les images de deux étés, d'une fête de cinéma à une fête en l'honneur du cinéma. Agnès Varda a tourné un documentaire à sa façon - coloré, souriant et un peu mélancolique – où l'on rencontre des Rochefortais pittoresques, des amis du film, Catherine Deneuve, Jacques Perrin et d'anciens figurants qui ont grandi, comme les tilleuls de la Place Colbert. On y revoit comment se fait un film heureux !
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◆ Top 3.50 sur 5
Il était une fois un garçon, élevé dans un garage où tout le monde aimait chanter. C'était en 1939, il avait 8 ans, il aimait les marionnettes et les opérettes. Puis il a voulu faire du cinéma mais son père lui a fait étudier la mécanique. C'est de Jacques DEMY qu'il s' agit et de ses souvenirs. C'est une enfance heureuse qui nous est contée, malgré les évènements de la guerre et de l'après-guerre.
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◆ sur 5
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◆ Sympa 2.75 sur 5
Une visite pas ordinaire dans un très grand appartement vide. Vide ou plein ? Une famille y a peut-être vécu, ou va y vivre. Une jeune fille va peut être s'en échapper... D'anciens vieux n'en sont peut être jamais partis... Le décor raconte lui-même un drôle de temps qui passe...
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◆ Bien 3.21 sur 5
Un jeune homme voit la vie en noir quand il porte des lunettes noires. Il lui suffit de les ôter pour que les choses s'arrangent. Un mini film burlesque sans paroles issu de ... et complété ! On y voit Jean-Luc Godard sans lunettes et avec un canotier...
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◆ Sympa 2.50 sur 5
"C'est un portrait- reportage du peintre Jean Varda, mon oncle. Dans les faubourgs aquatiques de San Fransisco, centre intellectuel et coeur de la bohème, il navigue à la voile latine et peint des villes célestes et byzantines, car il est grec. Cependant, il est très lié au jeune mouvement américain et reçoit des hippies et des contestataires dans son bateau-maison. Comment j'ai découvert mon oncle d'Amérique et quel merveilleux bonhomme il est : c'est ce que montre ce court-métrage en couleurs." Agnès Varda.
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◆ sur 5
Une minute de commentaire dite par une voix anonyme pour chaque photographie. On apprend qu'à la fin les noms des photographes célèbres ou anonymes et ceux des commentateurs divers, un balayeur, Marguerite Duras, un enfant, Yves Montand, Delphine Seyrig, Yves Saint Laurent, un boulanger... Chaque jour en 1982, le quotidien LIBÉRATION publiait la photographie diffusée la veille sur FR 3, avec des extraits du commentaire. La série, sous forme de court-métrage par " album imaginaire ", a été diffusée par LA SEPT du 5 novembre au 7 décembre 1990.
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◆ Bien 3.27 sur 5
Un peu partout en France, Agnès a rencontré des glaneurs et glaneuses, récupereurs, ramasseurs et trouvailleurs. Par nécessite, hasard ou choix, ils sont en contact avec les restes des autres. Leur univers est surprenant. On est loin des glaneuses d'autrefois qui ramassaient les épis de blé après la moisson. Patates, pommes et autres nourritures jetées, objets sans maître et pendule sans aiguilles, c'est la glanure de notre temps. Mais Agnès est aussi la glaneuse du titre et son documentaire est subjectif.
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◆ Top 4.00 sur 5
Une jeune femme d'origine grecque découvre des aspects troubles de la politique de son pays. Film tourné pour la télévision en 1970, mais qui fut alors censuré.
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◆ Top 4.00 sur 5
Découvrir dans deux immenses pièces des centaines de photographies anciennes : enfants endimanchés, familles assemblées, groupes d'amis, de sportifs ou de collègues, etc... et découvrir que dans chaque image on voit aussi un nounours en peluche, un Teddy Bear Pourquoi et comment une certaine YDESSA, canadienne, née de parents juifs allemands, a rassemblé ces photographies et quelques ours d'époque emblématiques et rassurants. En fait l'inquiétude est présente et la visite filmée de cette collection d'artiste exposée à Munich réserve des surprises.
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◆ Navet 1.36 sur 5
Courte aventure entre 3 personnages : Clarisse, apprentie-voyante, Lazare, employé aux Catacombes de Paris et le Lion de Belfort, en bronze. Unité de lieu : la place Denfert-Rochereau (Paris 14ème).
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◆ Sympa 2.75 sur 5
Au cours d'un printemps pluvieux, une femme de presque 40 ans, Mary-Jane, tombe amoureuse ou plutôt glisse amoureuse d'un garçon de presque 15 ans, Julien, camarade de classe de sa fille Lucy. Lui, il essaie de faire partager à Mary-Jane sa passion pour les jeux vidéo, surtout pour " Kung-Fu Master ", un jeu où un karatéka sautillant doit supprimer tous ses adversaires pour délivrer " Sylvia ". Au retour d'une escapade dans une île, tout sera remis en ordre par les familles et les proviseurs. Mary-Jane ne reverra plus Julien. Elle souffre de son silence. L'a-t-il aimée ? S'est-il moqué d'elle ?
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◆ Bien 3.06 sur 5
Le film est un portrait-en-cinéma où l'on découvre Jane Birkin sous toutes ses formes, dans tous ses états et en plusieurs saisons, elle-même en sa diversité et aussi d'autres Jane... d'Arc, Calamity Jane, et la Jane de Tarzan et la Jane de Gainsbourg. C'est la feme-au-miroir-mouvant. Elle change de tête et de rôle pour s'amuser avec Agnès qui tourne autour d'elle, la déguisant, lui proposant des fictions ou des hommages comme celui à Marilyn... Celui de Laurel maladroit de " Laurel et Hardy ". Le film est un portrait semé de mini-fictions, le film est une fiction semée de mini-confidences de Jane B., au mieux de sa forme dans un libre dialogue avec celle qui la filme, Agnès V.
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◆ Sympa 2.64 sur 5
Femmes statues, colonnes humaines, les cariatides de Paris. A l'époque où Baudelaire était muet.
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◆ Bien 3.00 sur 5
Au bord de la mer, une chèvre, un enfant et un homme. C'est une photographie faite par Agnès Varda en 1954 : la chèvre était morte, l'enfant s'appelait Ulysse et l'homme était nu. A partir de cette image fixe, le film explore l'imaginiare et le réel.
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◆ Navet 1.75 sur 5
Comment parler d'amour, en levant les yeux vers les mosquées ou parler d'architecture au creux de l'oreiller. Ce court-métrage est une variation sur les émois amoureux de Pomme et Ali Darius (dans L' UNE CHANTE L' AUTRE PAS). Mais il peut être aussi la rêverie de n'importe quel couple d'amoureux dans les lieux aussi parfaits que la Grande Mosquée du Roi à Ispahan, point de jonction de l'art sacré et de l'art profane.
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◆ Bof 2.35 sur 5
DAGUERRÉOTYPES n'est pas un film sur la rue Daguerre, pittoresque rue du 14ème arrondissement, c'est un film sur un petit morceau de la rue Daguerre, entre le numéro 70 et le numéro 90, c'est un document modeste et local sur quelques petits commerçants, un regard attentif sur la majorité silencieuse. C'est un album de quartier, ce sont des portraits stéréo-daguérréotypés. Ce sont des archives pour les archéo-sociologues de l'an 2975.
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◆ Sympa 2.50 sur 5
Documentaire tourné à Oakland (Californie) au cours des manifestations autour du procès de Huey Newton, leader des activistes noirs... Au temps où les Black Panthers avaient un programme et des projets, avec entraînement des troupes, meetings, danses et déclarations, au temps où les Black Panthers inquiétaient les USA.
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◆ Bien 3.38 sur 5
Quatre ans après l'arrivée de Fidel Castro, Agnès Varda a ramené de Cuba 1 800 photos et en fait un documentaire didactique et divertissant.
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◆ Top 4.00 sur 5
Visite touristique et documentaire le long de la Riviera L'exotisme, les couleurs du tourisme, celle du Carnaval et de l'Eden. Une île. Des parasols qui se ferment à la fin sur une jolie chanson de Delerue.
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◆ Bien 3.06 sur 5
Carnet de notes d'une femme enceinte dans le quartier de la Mouffe (la rue Mouffetard, à Paris). Le marché, les clochards...et les ivrognes. Des images où l'on sent peut-être la tendresse de celle qui regarde les gens.
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◆ Bien 3.25 sur 5
Promenade autour des châteaux de la Loire montrés par ordre chronologique (de construction) avec commentaires incluant des poèmes du XVIème siècle et des réflexions de jardiniers.
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◆ Bien 3.28 sur 5
Un couple sur le point de se séparer, se questionne dans les lieux que la femme découvre, là où l'homme a été élevé, un petit village de pêcheurs près de Sète, La Pointe Courte. Des pêcheurs de coquillages s'organisent pour défendre leurs droits, les familles ont des tracas et des histoires de voisinage. Le couple est en crise : ils dialoguent. Ceux de La Pointe Courte se réunissent pour les Joutes. C'est une double chronique - un couple et un groupe, dans la lumière éblouissante de l‘été.
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◆ Sympa 2.78 sur 5
Trois acteurs - Viva, Jim, Jerry sur le chemin de la " staricité " et sur celui non moins difficile de la maturité- vivent dans une maison louée sur une colline de Hollywood. Ils ont tous les trois des crinières de lion. Ils vont vivre à leur façon l'assassinat de Robert Kennedy à travers ce que la télévision en montre, alors que leurs amis ont d'autres problèmes. Le poste de télévision est aussi une star du film.
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◆ Sympa 2.50 sur 5
La jeunesse d'Elsa racontée par Aragon avec les commentaires d'Elsa. Images et poèmes autour du couple célèbre Louis Aragon et Elsa Triolet.
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◆ Top 3.89 sur 5
Un menuisier aime sa femme, ses enfants et la nature. Ensuite il rencontre une autre femme, une postière, qui ajoute du bonheur à son bonheur. Toujours très amoureux de sa femme, il ne veut pas se priver, ni se cacher, ni mentir. Un jour de pique-nique en Ile-de-France, le drame va se mêler aux délices : l'épouse se noie dans un étang. Le menuisier et la postière vivront ensemble et élèveront les enfants. Ils iront en pique-nique, mais c'est l'automne.
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◆ Sympa 2.50 sur 5
Comment, en 150 secondes, rendre hommageà la Cinémathèque Française en l‘année de ses 50 ans, sinon en filmant les 50 marches qui montent vers le Musée du cinéma et descendent vers la salle obscure où sont projetés des chefs d'oeuvres aux escaliers célèbres !
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