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◆ sur 5
Un voyage dans les campings de bord de mer, le long de la côte qui va de l'Espagne à la Camargue, comme l'envers de la société, un jeu de cartes savamment mélangé. Chaque fois que le cinéaste plante sa tente, il fait connaissance avec ses voisins. Et, comme souvent dans ces cas-là, ils disent à un inconnu ce qu'ils ne diraient pas à leurs proches. Ils parlent d'eux, de ce qui compte pour eux...
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◆ Bof 2.35 sur 5
DAGUERRÉOTYPES n'est pas un film sur la rue Daguerre, pittoresque rue du 14ème arrondissement, c'est un film sur un petit morceau de la rue Daguerre, entre le numéro 70 et le numéro 90, c'est un document modeste et local sur quelques petits commerçants, un regard attentif sur la majorité silencieuse. C'est un album de quartier, ce sont des portraits stéréo-daguérréotypés. Ce sont des archives pour les archéo-sociologues de l'an 2975.
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◆ sur 5
Durant une année, de Marseille à Charleroi, de Bruay à Genève, à travers des banlieues du bout du monde et des usines en friche, le cinéaste a remonté les lignes de rupture de la civilisation engendrées par des industries condamnées. De ces paysages incertains, des personnages viennent à nous : un jeune homme aux cheveux longs, une sage-femme, un ouvrier, une jeune Africaine...
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◆ Bien 3.00 sur 5 1
La vie de Cédric et de ses amis au sein du service cancérologie de l'Institut Curie à Paris. Le réalisateur les accompagne au gré de leurs combats contre la maladie, de leurs réflexions, de leurs questions et de leurs révoltes.
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◆ sur 5
Ils disent l'enfance qui s'en va, la cité qui fait peur et qui fait envie, ils nous parlent du bien et du mal, de la religion et des résultats scolaires. Ils sont en cinquième et vivent l'âge où l'on naît au monde.
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◆ sur 5
De jeunes beurs de la cité des Mille Mille à Aulnay-sous-bois évoquent leurs vies quotidiennes et quelques souvenirs d'enfances.
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◆ sur 5
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◆ Sympa 2.75 sur 5 2
Le cinéaste est parti seul avec sa caméra dans un pays qu'il ne connaissait pas, le Rwanda, près de dix ans après le génocide : un voyage à travers l'inconcevable tel que le reconstruisent des rescapés par leur récit, des orphelins qui pratiquent les danses traditionnelles et leur mentor, Déo. Dans sa colline natale il remonte l'histoire d'une civilisation, d'un peuple d'éleveurs et d'agriculteurs mêlés, Tutsis et Hutus.
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◆ Génial 5.00 sur 5 1
La République Marseille nous emmène à travers sept univers ( La Totalité du monde , Les Quais , L'Harmonie , Les Femmes de la cité Saint-Louis , Le Centre des Rosiers , Marseille dans ses replis et La République ) qui composent une ville comme une république, celle des dockers, des militants ouvriers, des femmes d'une cité jardin ou des habitants d'une énorme cité ghetto et, dans ses replis, à la rencontre de tout un peuple, ancien junkie, boxeur ou toutes jeunes filles devant la vie. "La République", une grande artère du centre ville. Face à une violente opération immobilière, toutes ces histoires viennent se rejouer.
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◆ Génial 4.50 sur 5 2
Cela se passe en banlieue, cela pourrait se passer dans tous ces lieux qu'on dit à la périphérie, mais à la périphérie de quoi ? Sur les murs des appartements, se posent les fragments des rêves de ceux qui les occupent, papiers peints aux dessins de fleurs, ou à l'aspect de forêt, canevas de flamands roses, objets dérisoires et magnifiques de la sourde résistance qu'ils opposent à la fatalité. Sur les corps de ceux qui les occupent, se marque le souvenir des traumatismes et des blessures, des deuils et des arrachements à une vie ailleurs que leur parole continue à habiter, avec leurs espoirs... Entre la fiction et le documentaire, entre l'histoire racontée par une narratrice d'un enfant qui aurait vécu là, dans une de ces cités laissées pour compte, et qui aurait rêvé de s'en échapper et la rencontre avec ceux qui continuent d'habiter ces lieux, le film découvre un paysage complexe, imprévu, violent et poétique.
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◆ sur 5
Angélique a 30 ans. Douée pour le jeu de billard, elle a décidé de réaliser son rêve : faire de ce jeu et de ce sport la principale occupation de sa vie. Elle s'entraîne 5 heures par jour. Elle a été 3 fois championne de France de snooker et s'affronte aux meilleures dans les championnats du monde. Malgré le peu de reconnaissance qu'elle en tire financièrement et de la part de son entourage, elle continue. Solitaire et obstinée, elle vit sa vie comme une aventure. J'ai tenté d'approcher ses motivations, ses questions, sa conception du jeu, sa technique, son rapport à la compétition, ses doutes, sa force et sa fragilité.